Algérie

Rien n'est encore réglé pour les prénoms amazighs Lorsque l'APC d'Oran défie Sellal



Dans l'Algérie de 2013, 51 ans après l'Indépendance, le déni n'est visiblement pas près de s'estomper, en raison de petits fonctionnaires dotés d'une petite cervelle qui usent de leur "pouvoir" pour narguer les citoyens. Et à l'APC d'Oran, c'est même devenu une constante.Qu'on en juge.
Après la naissance de sa fille, le 14 février 2013 à Oran, le père s'est présenté à la mairie en question pour inscrire la petite Massilia Hassam, mais au service d'état civil, ils ne veulent pas entendre parler d'un tel prénom. Ça sonne trop amazigh ! Malgré toutes les protestations du père, les responsables du service font la sourde oreille.
Ce qui l'a contraint à saisir trois des Rapporteurs spéciaux de l'ONU sur les questions de droits de l'Homme. L'Algérie va se faire encore taper sur les doigts par le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, à cause du comportement inhumain de petits fonctionnaires zélés. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait pourtant promis tout récemment de régler le problème définitivement.
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