Revêtement de la route et réalisation d'un espace vert

De nombreuses cités relevant de l'OPGI et de l'EPLF, dont certaines ont été réceptionnées il y a de cela 20 ans, n'ont pas été aménagées, au grand dam des habitants. D'autres ont subi des dégradations récurrentes suite à des travaux de voiries et n'ont pas été remises en état. Ces insuffisances causent beaucoup d'aléas aux résidants et autres visiteurs. La cité Mohamed-Lamini, la cité du 18-Février et son extension, pour ne citer que celles-là sont dans un état d'abandon et de délabrement incroyable. La gadoue et les étangs d'eaux pluviales rendent les routes impraticables en hiver. Des terrains vagues censés être réservés aux espaces verts sont pleins de saletés engendrées par les habitants et les commerçants. Les plantes sauvages disséminent les lieux. L'entrée principale de la cité Mohamed-Lamini offre un décor désagréable. La route est complètement défoncée, la boue et la poussière sont le lot quotidien des habitants. Cette situation « dure depuis de nombreuses années », ont indiqué les locataires rencontrés sur place. Un entrepreneur a été engagé pour faire les travaux nécessaires mais a abandonné le projet à mi-chemin laissant la cité dans un état catastrophique. Mais, selon le P/APC, désormais la cité offrira un autre visage beau et accueillant avec le revêtement de la route et la réalisation d'espaces verts. Une enveloppe financière de 8 millions de dinars est consacrée à ce projet d'embellissement de la ville, dont un espace vert sera réalisé devant le lycée à proximité du collège Mohamed-Bekkari et un autre à ladite cité.