De nombreux étudiants de la résidence universitaire Mohamed-Lamine Debbaghine, du 2c pôle universitaire, montent au créneau.
L'absence de sécurité, à l'origine de l'introduction de boissons alcoolisées et autres drogues, ainsi que l'intrusion de certains travailleurs de chantiers, ayant transformé la cité en dortoir, sont les principales raisons de la colère de la majorité des résidents qui tirent la sonnette d'alarme, dénonçant en ces termes :« Il faut tout d'abord souligner que notre résidence est dotée de toutes les commodités. Cependant, le laxisme de certains agents de sécurité encourage des résidents qui rentrent ivres à 2h ou 3 h du matin. Ils provoquent en outre un tapage nocturne qui génère le plus souvent des bagarres. La complicité et la complaisance de certains ont ouvert la voie à de nombreux clandestins hébergés au vu et au su de tout le monde. » Afin de connaître l'autre son de cloche, celui de l'administration, en l'occurrence, nous avons contacté le directeur des oeuvres universitaires, Hacène Aït-Ameur, qui a bien voulu nous éclairer, en déclarant ceci : « Pour moi le temps des généralités est révolu. Les étudiants qui parlent de clandestins ou de ces perturbateurs qui rentrent ivres la nuit sont invités à se rapprocher des directeurs de résidences ou de la direction des oeuvres universitaires, lesquels ne ménageront aucun effort pour prendre les mesures qui s'imposent. »
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Posté Le : 12/11/2009
Posté par : sofiane
Ecrit par : H. B., K. B.
Source : www.elwatan.com