C'est hier que la Chambre criminelle près l'annexe de la Cour d'appel de Salé a repris les audiences du procès des 24 Sahraouis poursuivis après les événements tragiques de Gdeim Izik de novembre 2010. Reporté sine die le 26 décembre dernier, près de quatre ans après un premier verdict prononcé par le tribunal militaire de Rabat, condamnant en février 2013 les militants sahraouis à des peines variant entre la perpétuité et 20 ans de prison ferme. La Cour de cassation avait invalidé, en juillet 2016, le jugement du Tribunal militaire, ouvrant la voie à un nouveau procès devant une juridiction civile. Le fait majeur de ce procès est l'expulsion hier par les autorités marocaines de l'avocat espagnol Francisco Serrano, qui s'apprêtait à y assister en tant qu' "observateur". C'est ce qu'ont rapporté les médias marocains.M. T.
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Posté Le : 24/01/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R I
Source : www.liberte-algerie.com