Algérie

Répression meurtrière à la suite de manifestations de l'opposition


Au moins quatre morts au Togo. C'est le dernier bilan de la répression policière. Deux hommes auraient été tuéspar balle lundi matin à Sokodé, fief del'un des principaux partis d'opposition dans le centre du pays.Au moins quatre morts au Togo. C'est le dernier bilan de la répression policière. Deux hommes auraient été tuéspar balle lundi matin à Sokodé, fief del'un des principaux partis d'opposition dans le centre du pays.
Deux autrespersonnes sont mortes durant le weekendlors d'affrontement avec les forcesde l'ordre à Lomé en raison d'une tentativede manifestation avortée.L'opposition dénonce ces violences etdemande le report du scrutin législatifprévu fin décembre.
Deux personnes ont été tuées lundi 10décembre à Sokodé, fief de l'un desprincipaux partis d'opposition dans lecentre du Togo, portant le bilan à aumoins quatre morts depuis samedi,journée de violences entre les forcesde sécurité et partisans de l'opposition.28 manifestants ont été interpellés, a précisé le gouvernement, dans un communiqué publié samedi soir. Ces manifestations interviennent après un an de crise politique et l'échec des négociations entre le pouvoir et l'opposition, sous l'égide de la CEDEAO. (Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest). La coalition de 14 partis d'opposition boycotte les prochaines législatives prévues le 20 décembre, dénonçant des "irrégularités" dans leur préparation, et avait appelé à des manifestations pendant une dizaine de jours à partir de samedi pour exiger l'arrêt du processus électoral. Ces manifestations ont été interdites par le gouvernement qui
a évoqué l "risque très élevé de troubles graves à l'ordre public" alors que la campagne électorale a démarré mardi 4 décembre. Le pays traverse une grave crise politique depuis plus d'un an, avec des manifestations massives pour réclamer la démission du président Faure Gnassingbé. Ce dernier a succédé en 2005 à son père qui avait dirigé le Togo d'une main de fer pendant 38 ans.
Deux autrespersonnes sont mortes durant le weekendlors d'affrontement avec les forcesde l'ordre à Lomé en raison d'une tentativede manifestation avortée.L'opposition dénonce ces violences etdemande le report du scrutin législatifprévu fin décembre.
Deux personnes ont été tuées lundi 10décembre à Sokodé, fief de l'un desprincipaux partis d'opposition dans lecentre du Togo, portant le bilan à aumoins quatre morts depuis samedi,journée de violences entre les forcesde sécurité et partisans de l'opposition.28 manifestants ont été interpellés, a précisé le gouvernement, dans un communiqué publié samedi soir. Ces manifestations interviennent après un an de crise politique et l'échec des négociations entre le pouvoir et l'opposition, sous l'égide de la CEDEAO. (Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest). La coalition de 14 partis d'opposition boycotte les prochaines législatives prévues le 20 décembre, dénonçant des "irrégularités" dans leur préparation, et avait appelé à des manifestations pendant une dizaine de jours à partir de samedi pour exiger l'arrêt du processus électoral. Ces manifestations ont été interdites par le gouvernement qui
a évoqué l "risque très élevé de troubles graves à l'ordre public" alors que la campagne électorale a démarré mardi 4 décembre. Le pays traverse une grave crise politique depuis plus d'un an, avec des manifestations massives pour réclamer la démission du président Faure Gnassingbé. Ce dernier a succédé en 2005 à son père qui avait dirigé le Togo d'une main de fer pendant 38 ans.
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