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Algérie - Japon - universités - partenariat - Le programme de coopération algéro-japonais en matière de développement des technologies solaires avance au rythme «convenu», a affirmé, hier, la vice-recteur chargée des relations internationales et de la coopération à l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO). Les légers retards accusés dans la phase de lancement de ce projet suite au violent séisme qui a secoué l'archipel asiatique en mars dernier ont été «rattrapés», a-t-elle assuré, ajoutant qu'une séance de travail autour de cette opération est prévue en novembre prochain à l'USTO avec une délégation d'experts japonais. Ce programme qui a été lancé en janvier 2011, doit permettre l'acheminement, dans un délai de cinq ans, de l'énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d'alimenter les stations de dessalement de l'eau de mer.
Trafic routier dans l'est de la capitale : Amélioration - Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul a affirmé, hier, que le trafic routier dans l'est de la capitale «connaîtra une nette amélioration grâce aux différents projets dont la réalisation a été lancée récemment». Intervenant lors d'une visite d'inspection de plusieurs chantiers à Alger, M. Ghoul a indiqué que les deux projets de dédoublement des RN 121 et 149 reliant respectivement Aïn Taya à Rouiba et Bordj El-Bahri à El-Hamiz «auront un important impact sur la vie sociale et en matière de développement». Les deux projets «sont à même d'améliorer la liaison entre l'autoroute Est-Ouest au niveau du lieu dit Ouled Moussa (Boumerdès) et les régions côtières de l'est de la capitale», a précisé le ministre. Au regard de la vocation agricole de plusieurs régions de l'est de la capitale, l'ouverture des deux RN «est à même d'insuffler une impulsion à l'activité agricole et de faciliter la commercialisation des produits agricoles», a-t-il ajouté.
Justice : intégration des détenus -Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, a mis l'accent, hier, à Tlemcen, sur la nécessité «d'accompagner» les détenus formés au sein des établissements pénitentiaires dans leur recherche de l'emploi une fois leurs peines purgées. Inspectant l'établissement pénitentiaire de Remchi, le ministre a insisté sur la formation et l'enseignement au profit des détenus, afin qu'ils puissent acquérir les compétences professionnelles nécessaires à leur réintégration dans la société. Selon les données chiffrées présentées au ministre, cet établissement a réussi, l'an dernier, à former 536 détenus dans diverses spécialités dont la coiffure, la couture et la ferronnerie. 429 d'entre eux ont décroché un certificat d'aptitude professionnelle. Cet établissement a présenté 71 candidats au baccalauréat, dont 53 ont décroché ce titre.


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