Selon la coordination nationale des adjoints de l'Education affiliée au
SNAPAP, les adjoints de l'Education envisagent de boycotter la prochaine
rentrée scolaire. Même si c'est aujourd'hui (1er septembre) qu'ils rejoignent
leurs établissements scolaires, les adjoints de l'Education vont décider
incessamment d'un «boycott» des inscriptions des élèves au niveau des lycées et
établissements moyens. «Si l'idée de boycott des inscriptions existe déjà, il y
a lieu de prendre une décision ensemble par les concernés qui rejoignent leurs
établissement dès aujourd'hui» précise notre source.
Seul moyen de pression pour faire entendre leur revendication, estime le
syndicat des adjoints de l'Education. Trois revendications principales sont
avancées par ce corps. Ils s'estiment lésés par le nouveau statut particulier
dans son chapitre relatif à leur classement. Notre source précise que les
adjoints de l'Education se sont vus rétrogradés de la catégorie 11 (classement
de l'ancien système) à la catégorie 7 dans le nouveau statut. Ce qui n'est pas
sans répercussions négatives sur leur prime et indemnités notamment prime de
rendement et indemnité d'expérience personnel et pédagogique et en définitive
sur leurs mensualités. Ils réclament qu'ils soient reclassés à la catégorie 10
afin que l'énorme fossé (parfois de 15.000 DA) qui les sépare des surveillants
généraux soit réduit.
La deuxième revendication de l'adjoint de l'Education consiste, selon le
syndicat à lui donner la possibilité après 10 ans de service de prétendre à une
promotion au poste de surveillant général. Et enfin ils mettent également en
avant la revendication d'un reliquat à partir de l'année 1991 du moment que la
fonction des adjoints de l'Education ou surveillant est considérée comme étant
une fonction pédagogique alors que cet aspect n'est pas pris en considération
dans le calcul de l'IEPP (indemnité d'expérience professionnelle et
pédagogique)
Le syndicat espère que les
pouvoirs publics entendent d'une bonne oreille ces revendications et de
revaloriser le corps des adjoints de l'Education dont la mission est aussi
importante que celle de l'enseignant, conclut-on.
mes salutations pour tous mes collegues et surtout pour ceux qui nous soutiennent.bref je ne vois pas pourquoi nous sommes leser de nos droits et pourtant je suis connaisseur en la matiere je suis pret a defier des directeures dans leur dommaines et encore plus ;j'ai mon propre niveau et j'ai la tete haute et je suis pret a relever le defi dans le domaine pedagogique et administratif mrs conseils a vous cf'est de tenir tete ne vous rabesser pas incha lah on va triompher
ait hamou amar - adjoint de l'education - tissemsilt, Algérie
19/09/2010 - 6710
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Posté Le : 01/09/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : S E K
Source : www.lequotidien-oran.com