Renouvellement des Ligues : Fin de la tyrannie et autres intrigues '

A la fin du cycle olympique, c'est désormais le v?u caressé par toute la famille sportive à la base de la pyramide footballistique.Il faut rappeler que des dernières assemblées générales électives de renouvellement des ligues de football, la mémoire sportive collective retiendra qu'on a foulé aux pieds les principes démocratiques de la République en optant dans un ultime geste cynique pour «le» candidat unique.
Ce qui a eu comme conséquences des pratiques versant dans l'autoritarisme, voire dans la dictature.
Car il le faut le dire tout de suite : pour certains, aux visions étroitement confusionnelles avec un penchant relationnel conflictuel, l'ambition de présider une ligue de football sans partage et avec une touche personnelle est devenue avec l'habitude de toutes sortes de privilèges engendrés par cette «charge», une véritable pathologie obsessionnelle. La preuve, sans surprise, certains ? par des actes dans le temps additionnel visant la visibilité à l'effet de blanchir leur image aux yeux des autorités sous la trame de se représenter aux prochaines élections ? tentent de pérenniser leur règne et beaucoup parmi eux ne veulent pas lâcher prise. Pour certains, c'était même devenu une propriété privée partagée entre amis et membres de leurs familles.
Osons espérer que pour les futures assemblées, plus jamais ne se reproduiront les instructions téléphoniques (même pas un écrit !) venant d'en haut dans la forme d'intrusions à l'effet de prononcer d'aussi abjectes qu'injustes exclusions à l'encontre de membres actifs ayant eu le courage de lancer des alarmes au bout de pertinentes conclusions.
Espérons que le temps où seuls ceux au profil vil et servile ne soient mis au devant de la scène avec les missions nobles dévolues de ces institutions sportives telles les ligues de football soit révolu. Espérons enfin que des enquêtes profondes soient engagées dans certaines ligues pour découvrir et mettre à nu ce qui a été commis comme dérapages et autres compromis dans l'acte de gestion comptable de nombre d'opérations de formation pédagogique en apparence, alors que l'intention commerciale à but lucratif personnel prévalait en substance?