Algérie

Rencontre wali-société civile



Rencontre wali-société civile
La rencontre wali/société civile était, ce jeudi au siège de la wilaya, en réalité une pure confession de part et d'autre. Même si elle exprimait dans son fond, un réel désir de débattre sérieusement des questions du cadre de vie du citoyen.Parmi tous les projets finis et ceux en cours de finalisation, c'est le lac Sidi Med ben Ali, oued Mekerra et l'USMBA qui ont fait le plus couler d'encre. Le wali s'est montré comme à ses habitudes disponible et très attentif à tous les interventions des représentants de la société civile. Il fait part à chaque intervention qu'il est plus concerné par le développement de la ville «je suis un commis d'Etat, je ne cherche pas à faire plaisir, je fais mon travail, c'est un devoir que je suis appelé à accomplir en toute conscience devant le citoyen, le gouvernement et devant dieu», rassura-t-il. Un échange riche d'idées et de réflexions. La rencontre a été surtout un moyen de se rapprocher d'avantage pour unir les forces et unifier les objectifs. Le wali a fait savoir que la wilaya a connu un essor important dans tous les domaines grâce aux efforts de tous sauf qu'on oublie vite, «je suis un être humain», insinua-t-il, et d'ajouter «je demande plus qu'on travaille ensemble, chacun de nous est responsable, j'ai vu de mes yeux des enfants accompagnés de chiens jouaient sur le gazon récemment planté». Le wali a rassuré sur des mesures prises pour la réhabilitation du lac et oued Mekera, selon un procédé spécifique à la zone. Il a tenu à préserver l'aspect sauvage du lac et à lancer de grands travaux pour l'embellissement de oued Mekera. Il a fini par rapporter après multiples interventions des membres de la société civile, qu'il ne faut plus entendre les rumeurs, la porte a été toujours ouverte «il y a le mal et il y a le bien, si vous faites du mal, c'est ceux du bien qui vous en voudront et si vous faites du bien c'est ceux du mal qui vous en voudront. Moi je tiens à faire du bien pour dieu et ma conscience, et tant pis pour ceux du mal, si je ne leur plais pas», insinua encore une fois M. Hattab.




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