Algérie

Remous dans les cités universitaires



Pas moins de quatorze sections UNJA, implantées dans des cités universitaires, ont entamé hier des mouvements de protestation pour attirer l'attention de la tutelle sur ce qu'ils qualifient d'«agression flagrante». L'UNJA en veut énormément au DOU, qui continue à  appliquer sa décision datant de décembre 2010, excluant l'union de toute activité au sein des cités universitaires. Cette décision, pour rappel, est intervenue suite à  des agressions présumées, dont auraient été coupables des militants de l'organisation contre la direction et son personnel. Toutes les manifestations annoncées à  travers des communiqués, dont nous détenons des copies, sont motivées par cette décision qui, selon les militants UNJA, est un acte autoritaire qui leur ôte un droit. Elle ignore, en outre, la correspondance du 1er mars dernier, émanant du directeur général de l'ONOU, portant la liste des organisations estudiantines agréées auprès du ministère de l'Enseignement supérieur, et sur laquelle figure l'UNJA. Le 3e trimestre commence ainsi par une nouvelle source de perturbations, qui auront certainement un impact négatif sur les étudiants de l'université Hadj Lakhdar, déjà déstabilisés par des mouvements de protestation depuis le début de l'année.                                 


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