L?union générale des commerçants et artisans algériens de Relizane est montée au créneau cette semaine dénonçant dans une lettre adressée aux ministres du Commerce et des Finances et dont une copie a atterri au cabinet du wali, les pratiques commerciales illicites faisant de Relizane un carrefour du commerce informel. En effet, signe son secrétaire de wilaya, les commerçants affiliés à l?UGCAA ne peuvent plus s?aquitter de leurs droits fiscaux asphyxiés par le souk de Sidi Khettab qu?ils réprouvent énergiquement et dont l?expansion des filières de produits de plus en plus variés et les prix défiscalisés sont pratiquement imbattables. Â Le bureau de wilaya soucieux également des risques d?intoxications et de fléaux florissant l?été met en garde contre l?étalage de produits alimentaires (fromages, yaourts et pain) souvent jusqu?à occuper les portes des magasins «licites». Â D?autre part, l?union de wilaya s?insurge contre la prolifération de véritables stations de taxis clandestins bénéficiant d?une impunité «suspecte» et suggère le regroupement des «trabendistes» dans des centres commerciaux afin de régulariser une situation anarchique pouvant rétablir une justice fiscale perdue
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Posté Le : 04/07/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Benelhadj Djelloul B
Source : www.lequotidien-oran.com