Algérie

Relizane


Les informels étouffent les scolarisésA chaque rentrée scolaire, se pose le sempiternel problème des nuisances que subissent les établissements scolaires quadrillés voire asphyxiés par les étalages de commerces illicites. A titre d'exemple, les CEM « Beladam-Bessafi » et celui du « 19-Juin » situés au centre-ville ainsi que l'école primaire sont quotidiennement soumis aux diktats des professionnels de l'activité informelle. De ce fait, pour accéder à ces établissements, les élèves trouvent beaucoup de difficultés à se frayer un chemin parmi les tréteaux et autres tas de produits hétérogènes, notamment la friperie. Ceci sans compter les désagréments qu'ils subissent durant leur passage. Les enseignants n'ont pas manqué d'attirer l'attention des responsables sur la gravité de ce fléau et surtout sur les nuisances sonores des ventes à la criée qui empêchent les élèves de se concentrer sur leurs cours.Les habitants de « Brarma » exigent l'aménagement d'un cheminLes habitants du douar Brarma, dans la commune de Yellel, ont, dans une correspondance adressée au wali, tenu à exprimer leur désappointement au sujet de la dégradation du chemin reliant leur douar à la RN4. « Notre problème avec cette route remonte aux années 90 et nous n'avons cessé d'attirer l'attention des responsables locaux sur son état délabré et les nids de poule et autres crevasses qui se sont évasées avec le temps, le rendant impraticable, notamment en hiver », affirment les signataires de la pétition. « De ce fait, nous sommes contraints d'y accéder par les chemins communaux de Ain Rahma, la commune mitoyenne », précisent-ils non sans omettre de souligner les conséquences sur la scolarité de leurs enfants. Les citoyens de la localité ont également évoqué l'absence totale de l'éclairage public au niveau du douar. « Faute d'éclairage, nous avons été à plusieurs reprises la cible des voleurs qui ont profité de cette obscurité pour nous dérober le cheptel et les moteurs de pompage pour l'irrigation de nos terres puisque la région est agricole par excellence », notent-ils.
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