Pourquoi à chaque fois qu'il est espéré qu'est enfin venu le temps des reformulations des visions pour ne pas tomber dans le travers de la reconduction des mêmes contradictions, ce sont justement ces travers qui reprennent le dessus ' Qui devrait sortir le pays de la crise '
La classe politique qui est l'émanation des partis politiques ' La classe politique qui revendique son indépendance des partis politiques ' L'administration qui est une force non politique mais qui, parfois, souvent même, voire en permanence, agit pour le compte du pouvoir en place ' Que peut-il être retenu des discours partisans, toutes colorations politiques confondues, en matière de sortie de crise, quand il apparaît une certaine inhibition à expliquer et détailler les différents éléments constitutifs de leur vision pour le pays ' A ces interrogations s'ajoute la défection du MSP qui n'est pas encore assez analysée, qui n'est pas négligeable dans la mesure où celui-ci rejette toute réforme politique qui viendrait unilatéralement du pouvoir, rejoignant l'opposition dans ses rapports aux réformes, c'est-à-dire au pouvoir. Il est inutile de traiter le parti de Soltani de compromis avec le pouvoir si on n'admet pas que celui-ci était simplement en mission au sein de l'alliance, plutôt au sein du pouvoir, et si on n'admet pas non plus que tous les islamistes partisans ou non sont animés par une seule autorité ; on appelle ça les commanditaires. Le MSP a joué son rôle. Et les autres '
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 14/12/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : SOFIANE IDJISSA
Source : www.lnr-dz.com