Algérie

Réflexion 1962


Réflexion 1962
AZUL FELAWEN,

Je dédis ce poème un enfant de trois ans,

Cousu sons anesthésie, A trois pour le maîtriser, j’étais présent devant cette action horrible

Mille neuf cent soixante-deux était l’Age d’or d’un grand rêve d’espoir,

Aujourd’hui malgré lui, dans le cœur d’un peuple orphelin sans le vouloir.

Pourquoi Madame Monsieur nous somme pauvres dans nos richesses ?

Ce que devait être un paradis est un enfer qui fait fuir notre jeunesse.

Avec lui la matière grise qui fait l’aubaine de ses loups vampire,

Nous plutôt que de s’unir on se détruit pour accentuer la misère.

Chacun pour soi Dieu pour tous on se dispute pour un petit grain de couscous,

Pendons que d’autres font la fête, nous faire croire que cela fait le bonheur de nos tous

Il y a des êtres qui rêvent en dormant, d’autres qui rêve éveillez,

Lequel des deux est proches de la divinité ?



Mokrane Ait Lounes
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