Algérie

Réévaluer le prix du médicament



un moment où l'Algérie arrive à couvrir plus de 50 % de ses besoins en le président del'Union nationale des opérateurs de la pharmacie juge indispensable d'en réévaluer les prix.un moment où l'Algérie arrive à couvrir plus de 50 % de ses besoins en le président del'Union nationale des opérateurs de la pharmacie juge indispensable d'en réévaluer les prix.
Faute de quoi, prévient-il, il faudrait revenir à la case importation.S'exprimant, hier, à l'émissionl'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de laRadio algérienne, Abdelwahad Kerrarestime qu'en raison des investissementsimportants qui ont été consentis dans cetteindustrie,
"il est normal que le système deprix change. De la possible compromissionde l'équilibre de la sécurité sociale aucas où cette proposition est prise encompte, ce dernier explique que le médicament ne représente pas seulement un enjeusocial, mais aussi de développement de lafilière pharmaceutique et des personnelsqu'elle occupe, un aspect aussi importantque l'accès des Algériens aux soins". L'intérêt d'une telle mesure, si l'on en croit l'intervenant, contribuerait à assurer "l'accessibilité aux soins, à mettre à la disposition des patients des médicaments de qualité et à installer une industrie pharmaceutique forte et performante". M. Kerrar relève qu'en Algérie, il n'y a jamais eu d'ajustement du prix du médicament, un produit, dit-il, qui "n'a jamais fait l'objet de débats", vu la croissante
"fulgurance" qu'a connu ce secteur au cours des dix dernières années. Quand on lui demande si les réajustements qu'il propose doivent se faire au détriment de la couverture de sécurité sociale des malades, il répond que c'est grâce à unebonne production des produits de soins que "nous avons réussi à baisser les prix et à employer des centaines de milliers d'Algériens". Il prévient, par ailleurs, que "si nous continuons comme çà", c'est à dire à maintenir le coût du médicament à son niveauactuel, "nous allons assister à un déclin de cette industrie avec le risque de etour à lacase" importation.
Faute de quoi, prévient-il, il faudrait revenir à la case importation.S'exprimant, hier, à l'émissionl'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de laRadio algérienne, Abdelwahad Kerrarestime qu'en raison des investissementsimportants qui ont été consentis dans cetteindustrie,
"il est normal que le système deprix change. De la possible compromissionde l'équilibre de la sécurité sociale aucas où cette proposition est prise encompte, ce dernier explique que le médicament ne représente pas seulement un enjeusocial, mais aussi de développement de lafilière pharmaceutique et des personnelsqu'elle occupe, un aspect aussi importantque l'accès des Algériens aux soins". L'intérêt d'une telle mesure, si l'on en croit l'intervenant, contribuerait à assurer "l'accessibilité aux soins, à mettre à la disposition des patients des médicaments de qualité et à installer une industrie pharmaceutique forte et performante". M. Kerrar relève qu'en Algérie, il n'y a jamais eu d'ajustement du prix du médicament, un produit, dit-il, qui "n'a jamais fait l'objet de débats", vu la croissante
"fulgurance" qu'a connu ce secteur au cours des dix dernières années. Quand on lui demande si les réajustements qu'il propose doivent se faire au détriment de la couverture de sécurité sociale des malades, il répond que c'est grâce à unebonne production des produits de soins que "nous avons réussi à baisser les prix et à employer des centaines de milliers d'Algériens". Il prévient, par ailleurs, que "si nous continuons comme çà", c'est à dire à maintenir le coût du médicament à son niveauactuel, "nous allons assister à un déclin de cette industrie avec le risque de etour à lacase" importation.


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