Algérie

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plan topographique de la commune zahana
zaki mezzoued - etudiant - mascara, Algérie

12/12/2014 - 227949

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PDF de la 4e de couverture du livre Mhadja d’El Gaada et leur identité, (étude d’anthropologie sociale et culturelle d’une tribu arabe maghrébine), par le Professeur Mokhtar Lakehal, Paris, 7e édition, septembre 2012, 186 pages Téléchargement libre http://mhadja.elgaada.free.fr L’objet de l’étude « Il faut être deux pour découvrir la vérité, l’un pour la dire et l’autre pour la comprendre » (Khalil Gibran, Le Prophète). L’identité d’une tribu ne se construit pas à coup de fables, mythes, légendes, exagérations, … Elle se révèle avec des pensées, actes et comportements attestés, au travers desquels les observateurs peuvent noter la manifestation des valeurs identitaires. Si la réputation d’une tribu se construit sur plusieurs générations, une seule suffira pour la ternir dès lors que certains de ses membres persévèrent dans l’erreur de vouloir placer leurs aïeux au rang de « sommités », par un recours systématique aux fables, légendes et impostures. « Il faut chasser le démon du mensonge avec la lumière de la raison », disait Ibn Khaldoun (Discours sur l’Histoire universelle). L’impression de livres à compte d’auteur depuis 1966 et la prolifération récente d’articles, blogs et sites Internet au contenu fort douteux ont rendu nécessaire cette étude anthropologique pour cerner l’identité de Mhadja d’El Gaada. En effet, la Guerre d’Algérie (1954-1962) a endeuillé plus d’une centaine de familles de Mhadja d’El Gaada, dont certaines redoutent, pour leurs enfants et petits-enfants, les bidouillages des récits dont sont coutumiers les faussaires et toutes les assertions non étayées par des preuves tangibles, qui provoquent de graves altérations de la mémoire collective de Mhadja. Ces faussaires et manipulateurs passent outre l’avertissement d’Allah: « Ne suivez pas la passion plutôt que la justice. Si vous éludez, ou vous dérobez, Dieu est Informé de vos agissements » (Coran, sourate 4. An-Nisaa (les femmes), verset 135). Animé de probité et armé de rigueur scientifique, le chercheur mhadji a le devoir d’aider Mhadja à reconstituer leur identité débarrassée des fables, mythes, légendes et impostures. Car les nouvelles générations ont besoin d’entendre une parole franche qui explique rationnellement comment certains Mhadja ont honoré la lignée pendant que d’autres la souillaient en collaborant avec l’occupant. A priori dès qu’on évoque leur région, tribu ou famille, les individus trop conditionnés s’attendent aux seuls récits évoquant splendeurs et majestés pour en tirer fierté. C’est bien par ignorance qu’ils oublient qu’on trouve des vers même dans les plus belles pommes. Malheur à leurs parents qui leur ont caché la Vérité (El haq) jusqu’au jour où ils finiront par la découvrir. Savent-ils que seules la Foi et la Raison permettent de comprendre que le Savoir libère l’esprit de tous ces mythes, légendes, fables, occultations, impostures et mensonges qui dénaturent l’authentique identité ? Se rappellent-ils que nul n’a décidé de ses origines et que Dieu ne jugera personne sur cet élément fatal mais sur les intentions exprimées ou occultées, et sur les œuvres accomplies en faveur d’autrui, de la faune et de la flore ? Ses trois objectifs 1) Le premier objectif est de faire sortir de l’ignorance ceux qui ne connaissent ni la région ni ses populations, et surtout ceux qui continuent par ignorance à colporter légendes, fables, mythes et clichés sur Mhadja et El Gaada. 2) Le second objectif est de faire sortir de l’erreur ceux qui ont une connaissance déformée d’El Gaada et de Mhadja, à force de répétition de fables et légendes, transmises par ceux qui n’ont aucune rigueur scientifique. 3) Le troisième objectif est de suggérer des pistes de recherches aux jeunes universitaires qui s’intéressent à El Gaada et Mhadja ou aux caractéristiques tribales des Arabes du Maghreb. L’auteur Mokhtar Lakehal est né à Aïn Fará¸￾ (Commune d’El Gaada, ancien département d’Oran), le 10 avril 1949. Il vit à Paris depuis le 6 janvier 1974. Il est docteur d’État ès Sciences économiques (Université de Paris X-Nanterre), licencié ès Sciences sociales, professeur de Sciences économiques et sociales. Il a travaillé en entreprise (1968-1979), collaboré à des revues et journaux français et étrangers (1979-2001), créé en 1984 LARMISES (Laboratoire de recherches en Sciences économiques et sociales, 1984-2009) et publié six dictionnaires et une cinquantaine d’études et d’ouvrages d’économie, de sociologie, d’histoire et de politique. Il a enseigné dans de nombreux établissements: l’Institut d’Études Politiques de Paris (Sciences-Po), l’Université de Paris III-Sorbonne-Nouvelle, l’Université de Paris IV-Sorbonne, l’UPEC (Université de Paris Est-Créteil, Paris-XII), le CNFPT, l’ISG, l’ISC, l’Institut Charlemagne, etc.
Mokhtar Lakehal - Professeur de sciences économiques et sociales - Paris, France

27/09/2012 - 41156

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je suis d origine el gaada ,c une commune magnifique malgré quel a perdue certain beauté suite a la main de l être humain elle a d très beaux fermes qui t emmenée a un voyage dans les anciens années.
fati aya - LDE - oran, Algérie

21/02/2012 - 27417

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salut a tous le monde
sahraoui brahim abderrahmane - informaticien - oran, Algérie

14/05/2011 - 14714

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Dernier message à l'attention du taxieur. Vous avez jugé utile de ne pas donner suite à mon commentaire qui vous a été adressé le 7 mars. Je me vois contraint d'en tirer les conclusions suivantes: 1/ Pour avoir sciemment touché à mon texte sans le signaler au préalable, c'est que vous étiez mal intentionné. La preuve en est donnée par votre silence. Comment peut-on être aussi gratuitement insidieux de la manière dont vous l'avez été. Je suppose que vous avez des enfants et mesure d'orès et déjà les dégâts que vous leur ferez faire en les élevant avec de tels principes. Je vous invite à reproduire mon texte "in extenso" ou, au minimum informer les internautes des modifications que vous avez apportées et des rajouts révoltants que vous y avez injectés. Faute par vous de ne pas le faire, je concluerai que cela est dû à votre veulerie, couardise et votre lâcheté qu'on peut deviner au fait que vous ne signez qu'avec votre prénom si tant est que ce soit là votre vrai prénom. Il est regrettable qu'Internet soit utilisé par ceux qui ont l'art de se voiler la face.
zeddour mohamed brahim mohamed - ingénieur - Sidi Bel Abbès, Algérie

11/03/2011 - 12346

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A l'attention de Miloud le Taxieur Après réexamen de la reprise de mon texte, vous avez ajouté "Mhadia" à Tariqa derkaouïa", déformant l'intégrité du texte alors qu'il est signé de moi. Vous m'avez donc attribué quelque chose que je n'ai jamais écrite. Cela s'appelle de l'imposture et constitue une inobservance de la vérité répréhensible par le Seigneur. Puisse-t-Il vous rétribuer à la mesure de votre mauvaise foi. Aussi j'invite cordialement les habityués de ce site à consulter directement celui de " la voix de l'oranie du 6et 7 mars courants pour constater d'eux-mêmes la véracité de ce que j'avance à Monsieur le Taxieur.
zeddour mohamed brahim mohamed - ingénieur - Sidi Bel Abbès, Algérie

07/03/2011 - 12230

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Cher Monsieur Miloud, Vous avez bien voulu reprendre l'article concernant "La Tariqa Derkaouïa" dont deux parties ont été publiées par l'aimable soin de "La Voix d'Oranie" les deux autres devant l'être, sauf contrainte particulière pouvant surgir, demain lundi et après demain. Mais vous n'avez pas averti les internautes sur les motifs qui vous ont poussé à le faire. De même que j'ai constaté que vous avez égratigné le texte-sans gravité, j'insiste-alors qu'un original doit être scrupuleusement repris (même avec ses fautes et ses erreurs) quitte à ce que vous apportiez vous-même ce que vous estimez "corrigeable". J'espère que ce texte apportera quelques éclairages qui battent en brèche toutes les supputations qui m'ont amené à faire une réponse d'abord historique tout comme je pourrais amener une analyse spirituelle sur le sujet, selon mes convictions les plus intimes tout en reconnaissant à tout un chacun le droit de défendre les siennes dans un respect mutuel et sincère. Amicalement
zeddour mohamed brahim mohamed - ingénieur - Sidi Bel Abbès, Algérie

07/03/2011 - 12224

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La Voix de l’Oranie IXN°3443 - DIMANCHE 6 MARS 2011 PAR MOHAMED-SENNI EL MHADJI La Tariqa derkaouia et son ancrage dans l’Ouest algérien Première partie 1- Préambule. Depuis quelques mois nous assistons à une véritable hystérie, à travers le net, et notamment sur la très discutable et contestable «Encyclopédie Wikipedia» devenu un véritable dépotoir de convulsions des gens de l’ombre, qui s’empare de certains internautes où, divers intervenants de différentes nationalités s’en vont, chacun avec son histoire et ses fantasmes, raconter des inepties et collant notamment des étiquettes et des contrevérités à des régions entières du Maghreb. Il en est ainsi d’Mahaja d’El Gaâda, tantôt encensés abusivement ce dont ils n’ont que faire à moins que parmi leur descendance actuelle certains veulent en tirer prestige ou quelques considérations sonnantes et trébuchantes ce qui s’inscrit parfaitement avec l’air du temps, tantôt incriminés gauchement pour ce qu’ils ne furent jamais. Mais la plus répandue de ces assertions assénées sciemment, sans nul doute pour des motivations à peine voilées, est leur appartenance à la Tariqa derkaouïa Al Mahajia. Tout ce qui s’est dit ou écrit n’a jamais été assorti de sources quelles que fussent leurs degrés de fiabilité même quand certains « historiens » se sont insidieusement mis de la partie en abordant ce sujet. C’est le silence total. Aussi avons-nous pris l’initiative de tenter de faire le point par un historique sur cette confrérie en présentant certaines figures d’Mahaja d’El Gaâda laissant le lecteur seul juge pour faire la part du plausible, du possible, du vrai et de la calomnie gratuite. 2- Origine d'Mahaja Les Mahaja, Arabes Idrissides, se répartissent entre dix familles, les Ouled Sidi Meflah, Ouled Sidi Saïd et Ouled Sidi El Freïh d’El Gaâda et Ouled Sidi Sahnoun, Ouled Sidi Bouras, Ouled Sidi Abderrazzak, Ouled Sidi El Hachemi, Ouled Sidi Bouguelmouna, Ouled Sidi Ouis et Ouled Sidi El Arbi tous de M’Cid, les dix familles s’étant installées sur le territoire des Ouled Ali, Arabes hilaliens des Béni Amer. Leur ascendance remonte à Idris I, fondateur de la dynastie qui portera son nom et qui dura de 172 à 375 (788 à 985) avec une éclipse de vingt-cinq années à l’avènement d’Ibn Abi El Afia le Meknaci. Avec ses six frères, Idris I appartient à la cinquième génération descendante du Prophète (ç). Les Mahaja incriminés étant ceux d’El Gaâda, localité qui se trouve à huit kilomètres à l’Est de la cimenterie de Zahana dans la Wilaya de Mascara, nous nous limiterons, sans parti pris, à ceux-là. Le premier Mahaji entré en Algérie, le fit à la fin du XIVème ou au début du XVème siècle. Il s’appelait Sidi Mimoun et choisit El Mabtouh (dans l’actuelle Wilaya de Sidi-Bel-Abbès), non loin de Sidi Hmadouche pour s’y installer avec son frère Ayoub où ils passèrent le restant de leurs jours à enseigner. C’est au petit-fils (appelé Brahim enterré non loin de Fkane) de Sidi Mimoun que se rattachent, sans exception, les dix factions d’Mahaja que nous venons juste de citer. (1) Malékites convaincus, leur vie s’articulera toujours sur les préceptes de ce rite. Ils eurent des sommités dans ce domaine atteignant des niveaux tels qu’El Gaâda devint un pôle de connaissances pendant plus de deux siècles et demi. En parler aujourd’hui n’est pas notre but et quand bien même cela nous était demandé, tout l’espace qu’on pourrait nous accorder s’avérerait exigu même si, convaincu qu’à côté d’un nom cité, une infinité d’autres, tout aussi méritants, n’apparaîtraient pas. Cet aspect étant précisé, nous nous contenterons de citer brièvement quelques Oulama. 3- L’émergence de la Tariqa. Sous le règne du Sultan Moulay Slimane du Maroc (1792 à 1822), vers la fin du XVIIIe siècle un Cherif Idrisside, Moulay Larbi Derkaoui (1737-1823), issu des Baní Zeroual qui vivaient sur les bords de l’Oued Bou Brih (Maroc), appartenant à la faction des Derkaoua, crée l’ordre qui portera leur nom. Il voulut revivifier et donner une nouvelle impulsion à l’enseignement de la Chadhiliyya au moment où la majorité des Tourouq (confréries) était préoccupée par les choses de ce bas-monde. Il fut le disciple de Moulay Ali Ben Abderrahmane El-Amrani El-Fasi dit El Jamal qui avait sa Zaouïa à Fès au lieu-dit Hummat Er-Remula. Par son ascendance Idrisside, son immense savoir, ses dons de convaincre et son programme de vulgarisation, il réussit, en une dizaine d’années, à faire de sa Tariqa une des plus importantes, non seulement au Maroc mais même dans l’Ouest algérien. Il meurt en 1823 dans sa Zaouïa de Bou Brih où il sera en terré A l’origine, les adeptes de Moulay Larbi Derkaoui (1737-1823) ne portaient que des haillons rapiécés, marchaient pieds nus, portaient des colliers de carapaces d’escargots, rejetaient les bienfaits licites de ce monde, se surpassaient dans les modes d’abstinence, vivaient de mendicité en dépit de la tradition du Prophète (ç) qui nous enseigne que (la main qui donne est supérieure à celle qui reçoit) ou « la quête de la nourriture est un acte de piété ». Ces pratiques, contraires à l’enseignement de l’Islam, choquèrent la société en général et les Fouqaha (jurisconsultes) en particulier. Moulay Larbi en avait conscience. Le Sultan entama une opération pour contrecarrer ce mouvement qui ralliait à lui les couches les plus défavorisées. Il fut, en cela, soutenu par les Oulama qui voyaient dans cette Tariqa (confrérie) moult déviations. Moulay Larbi, conscient du danger, prit quelques timides mesures pour accroître ses rangs quand, contre toute attente, il fut rejoint- pour diverses raisons- par trois sommités religieuses du Maroc : Mohamed ben Abdelouahed El Alami dit El Harraq (mort en 1845) qui était le grand orateur de la mosquée de Tétouan et Mohamed El Bouzidi qui apportèrent un sang neuf à la Tariqa. Mais ni l’un ni l’autre ne furent jamais disciples de Derkaoui puisque ce dernier n’a fait que se renforcer par leur présence. La troisième sommité qui rejoignit la nouvelle Tariqa n’était autre que le grand Aboul Abbas Ahmed ben Mohamed ben El Mehdi Ibn Ajiba (1747-1808) qui nous a légué plusieurs ouvrages sur le vrai Tassawuf (soufisme) dont une excellente interprétation des « Sagesses » d’Ibn Ata Allah El Iskandari, mort en 709 / 1309. (Ce dernier, anti-soufi à ses débuts, sera l’homme qui diffusera, à travers toute l’Égypte, l’enseignement de Chadhili né, en 593/1195 - qui n’a jamais écrit- après l’avoir reçu durant douze ans d’Aboul Abbas El Morsi (mort en 686 / 1287) qui, comme son maître n’avait pas aussi écrit). Le ralliement d’Ibn Ajiba, en 1793, ébranla le pouvoir. Deux années plus tard, le gouverneur de Tétouan, Mohamed Essaridi lança une vague d’arrestations qui commença par Ibn Ajiba et ses proches compagnons. Des mourides venus de divers horizons pour leur rendre visite subirent le même sort. Face à une telle situation, Moulay Larbi fut contraint de demander à ses adeptes d’évacuer les villes pour les campagnes. Et n’étant pas tout à fait rassuré pour la pérennisation de son mouvement, il se tourna vers l’Algérie. Il fut même encouragé pour cela. En moins de dix années tout l’Ouest algérien, à l’exception des Sunnites avisés, allait basculer dans la nouvelle Tariqa. Le Sultan était alors dans une situation délicate. En 1797, Moulay Larbi demanda à Moulay Slimane d’élargir les prisonniers de Tétouan. Le Sultan demanda en contrepartie au Derkaoui d’intercéder, en sa faveur, auprès de son frère Meslama, réfugié à Tlemcen après sa tentative avortée, en 1795, de prendre le pouvoir dans les régions situées au Nord du Maroc et obtenir de lui de se réconcilier avec son frère. Au mois d’octobre 1797, Moulay Larbi arriva en Algérie. (2) A suivre. Si Tayeb El Mahaji, « Les précieux bienfaits et les mémorables souvenirs de ce que j’ai vécu d’important au passé et au présent », 1ère édition, Société Algérienne d’Edition et de Papeterie, Oran, 1966. «Le Maroc avant la colonisation», Mohamed El Mansour, (Edition originale en anglais), traduction à l’arabe par Mohamed Houbeïda, Editions du « Centre Culturel Arabe », 2006, Beyrouth et Casablanca).
miloud - Taxieur - Montréal, Canada

07/03/2011 - 12213

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Pour une première intervention, je voudrais bien reprendre ce qu'a écrit l'ami Youcef de Montréal. Mais mes réponses aux divers points qu'il a soulevés nécessitent un livre entier qui, actuellement est prêt, mais dont je diffère la diffusion pour des raisons particulières. Sitôt que ces raisons connaîtront leurs suite et recevabilité, le livre sera publié. Natif d'El-Gaada, j' appartiens à l'une des dix grandes familles des M'hadja et notamment celle des Ouled Sidi El Freïh qui, avec leurs cousins Ouled Sidi Mofleh et Ouled Sidi Saïd se sont installés sur ce plateau pendant que les membres des sept autres familles dont je peux vous communiquer les noms, se sont installées à M'Cid. Ce que je trouve irritant et attentatoire à ce que furent réellement les M'hadjas, c'est l'ensemble de ces légendes maladroitement colportées par des Mhadji eux-mêmes. Avant d'arriver à l'un des aspects auxquels, j'accorde une importance, je me permets de porter à votre connaissance que celui que vous avez qualifié d'historien de l'Oranie est concerné par ces aspects et, à la date de votre écrit, il yavait déjà quelque temps qu'il a été relevé de son poste tout"élu" qu'il était.Je m'interroge sur sa liberté d'écrire sur un cite qu'il n'a jamais visité. C'est comme si vous demandez d'écrire sur Montréal et que j'entamerai mon travail par une introduction du type:"Monréal, se situe dans la grande banlieue d'El Gaada". Cela fera sourire plus d'un comme j'ai moi-même souri en lisant toutes les inepties, contre-vérités et affabulations assénées sur El Gaada. L'ignorance criarde de ce que furent les M'hadja a fait écrire à certains queceux-ci furent des Derkaoui, ce qui constitue une violation de leurs mémoires. Aussi, vous inviterai-je, cher Monsieur, à lire l'article qui paraîtra sur" la Voix de L'Oranie" du Dimanche 8 courant et resterai à votre disposition pour aborder les autres points si la quëte de la vérité fait partie de vos soucis. Amicalement.
zeddour-mohamed-brahim mohamed - ingénieur - sidi-bel- abbès, Algérie

04/03/2011 - 12113

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El Gaâda est historiquement plus rattaché à l'histoire d’Oran qu'à l'histoire de Mascara. Ce village dénommé El Gaâda, Jadis appartenait à la Wilaya d’Oran . Mais après le nouveau découpage territorial de juin 1975, Il fait partie désormais de la Wilaya de Mascara sachant que la distance séparant El Gaâda de Mascara est supérieure à 80 Kms. Le village d’El Gaâda avec une riche histoire associée a celle d’Oran, aurait du être inclus dans le territoire de la Wilaya d’Oran et non pas dans celui de Mascara. Pourquoi le découpage territorial a divisé les habitants citadins de la ville d'Oran par d’autres wilayas. Oran, naquit vers l'an 900 en pleine période des Idrisside et les habitants d’El Gaâda sont des Idrissides pour quoi.
mMohamed - sans - Montréal, Canada

03/03/2011 - 12074

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“On dit toujours BISMILLAH ” El Gaâda la porte de la ville d'Oran en 902. L'historien de l'Oranie et actuel maire d'Oran, Saddek Benkada : qualifie cette localité de « bosse culturelle » de l'Oranie pour son rôle historique dans l'éducation arabe et religieuse assurée par ses Oulama et chouyoukh de Zaouïas Derkaouia Al Mahajia auprès des populations de l'Ouest algérien Live (ORAN Face à sa mémoire) Éditions Bel Horizon (Algérie). l'histoire de la ville d'Oran et le village d’El Gaâda (Algérie). Le village d’El-Gaâda est historiquement plus rattaché à l'histoire d’Oran qu'à l'histoire de Mascara. El Gaâda: El Gaâda qui signifie littéralement Caravansérail, était jadis l’un des premiers villages d'Oran en Algérie. Sa commune est située à 40 km au sud-est dans la banlieue d'Oran et s'étale sur une superficie de 5 000 hectares. El Gaâda, qui veut dire assemblée, est une occasion de rencontre et de partage. Il y a quatre sorties de ce village d'El Gaâda, chacune avec une indication du kilométrage : Oran 40 km, Mascara 80 km, Bel Abbès 50 km, Sig 20 km. Les familles originaires de cette localité, qu'on appelle Al Mahaja, s'affirment de souche noble (reconnus par les populations de la région comme nobles) et prétendent avoir des ancêtres remontant à Idriss II (le fondateur de la dynastie arabe, les Idrissides (788-985), qui fonderont la première dynastie musulmane d’origine moyen-orientale. par son fils Mohamed Ibn Idriss II et Ahmad fils de ce dernier. Sur le nord de l'actuel Maroc et à l'Ouest de l'Algérie. Volubilis puis Fès furent leurs plus célèbres capitales fut fondée en 810 par le Sultan Idriss II, roi pacificateur succédant à son père Idris I le conquérant, descendant du prophète et Tlemcen fut la deuxième ville des Idrissides. Al Mahaja. Une grande famille idrisside s'installa sur ce site géographique et sera connue sous le nom d'Al Mahaja qui, après l'apparition du maraboutisme s'appellera Al Mahaja rab'ine chachias (Al Mahaja les 40 coupoles) selon la légende populaire régionale. Car beaucoup de ses imams auront droit chacun à son mausolée (goubba) et ses serviteurs (khoudem). Ces Mahaja sont considérés par les tribus installées dans l'Ouest algérien, et se considèrent eux-mêmes, comme des Chorafas dont l'arbre généalogique remonte à Hassan fils de sayida Fatima Zahra, fille de Mohamed prophète (Que la prière et le salut soient adressées), et de l'imam Ali ibn Abi Talib son gendre et cousin. Des arbres généalogiques circulent au sein de plusieurs fractions des ces Mahaja pour attester chacune de sa noblesse (nesbiya). On raconte que la localité aurait accueilli l'une des premières tribus constituées dans l’Oranie occidentale, bien avant l’arrivée des Omeyyades de Cordoue et des Fatimides au Maghreb. Ces tribus se sont d'abord installées dans un lieu appelé aujourd'hui douar Al Aâraiba, situé à 50 kilomètres environ au nord-ouest (direction Bel Abbès) et 40 kilomètres environ sud-est (direction Oran) de l'actuelle El Gaâda-centre ville (daïra de Zahana). Jusqu'à présent on continue de nommer les uns, les Al Mahaja el Fwaga (ceux qui habitent au sommet, à côté du premier lieu d'installation, c'est-à-dire le village des Swaihiya et ses environs) et les autres, les Al Mahaja el T'hata (ceux qui habitent plus bas sur le plateau d'El Gaâda, à côté de la source dite Ain Afferd, aujourd'hui centre ville d'El Gaâda). La tradition orale raconte que les Al Mahaja se sont installés dans cette région (actuel douar Al Aâraiba) à cause de l’eau douce de la rivière Ain Chorfa (Source des nobles). Les Beni Hilal à El Gaâda (Oran) : Les Arabes hilaliens étaient les membres d'une tribu arabe qui émigra vers l'Afrique du Nord sont arrivés après les Omeyyades de Cordoue au XIe siècle (1050). lorsqu'ils sont venus au Maghreb les Arabes hilaliens (dont sont issus les Ouled Ali) . Ouled Ali tahata, Ils se sont installés à Oran et se sont mêlés aux tribus d’Al Mahaja. qui régnait en ce 19eme siècle sur toute la région. de Oued Imbert et dont les terres de parcours et de transhumance s’étendaient des riches plaines de Sidi Bel Abbés jusqu’à Oran, (La commune de Ouled Ali El Fwaga daira de Oued Imbert plus rattaché à la région de Sidi Bel Abbés mais la commune de Ouled Ali El Tahata daira de Zahana ex: St Lucien plus rattaché à la région d'Oran). Les Tribus des Hmayanes à El Gaâda (Oran) : Douar Ouled M’Barek Ils ont un seul et même ancêtre, à un noir nomme M’Barek en les appela par la suite les Ouled M’Barek qui était les esclaves d’Al Mahaja (aâbid Mahaja) la tribu de Ouled M’Barek dans la région qu’elle occupe actuellement s’adonna à la vie nomade (les Ouled M’Barek ou il se marie avec les femmes Chorafa d’Al Mahaja). Les citadines de la ville d'Oran: les habitations citadines de la ville d'Oran sont les Zmalas, les Ghoualem, les Gherrabas, Ouled Ali et Chorafas d'Al Mahaja, le premier village d'Oran la commune d'El Gaâda. Les premiers villages de la banlieues d’Oran : Le premier village El Gaâda, le deuxième village Oueld Ali, Troisième village Sidi Ghalem, Quatrième village Tamazoughra et le Cinquième village Oggaz. Al Mahaja sont des Idrissides qui fonderont la première dynastie musulmane (788-985), Ouled Ali sont des Bani Hilala les arabes qui émigra au Maghreb (1050), El Ghoualem sont des Almoravides M’rabet Sidi Ghalem une dynastie Sanhadja (1035-1147), Zmala sont des Mérinides une dynastie Zénète ( 1244-1465) il y a aussi des Zmalas Nomad (Beni Amer) et El Gherraba un peuples Nomad (beni Ameur) Oueld Nekrouf . Oran contemporain, tel que le voyageur, arrivant par mer, peut en embrasser le panorama comme une immense cité dont on suit le développement ininterrompu depuis la pointe du Cap-Falcon à droite, suive du Djebel Santon au pied duquel il y a le Fort de Mers El Kébir, jusqu’à la pointe de l’Aiguille, un ruban de 30 kilomètres, Ce qu’on appelle la baie d’Oran. Le site sur lequel ont été bâtis l’ancien Oran et sa ville satellite Mers El Kébir, grossi de sa banlieue, est particulièrement accidenté et raviné. Le point culminant du massif de l’Aidour (Murdjajo) – 407 mètres, est à vol d’oiseau à peine éloigné de 2 kilomètres de la mer. La chute vers le Sud, le Sud-Est et le Nord-Est se fait par un éventail de croupes coupées de paliers et séparées par des ravins profonds. Dans l’histoire du développement de cette grande cité, on ne peut faire abstraction de sa vie maritime. Sous toutes ses formes, elle est à l’origine de sa prospérité et à certaines époques, de sa décadence, après avoir connu quelques vicissitudes depuis 900, époque ou Idrissides vantait son commerce et ses artisans. après cette ville que fréquentent les marins andalous. L’histoire de la ville débute en l’an 290 de l’hégire (902-903). A partir de cette date, les historiens s’accordent pour admettre l’existence continue d’une cité. Le premier âge d’Or de la ville (Xe – XIIIe siècles). Les historiens arabes nous rapportent que des marins andalous conduits par Mohamed Ben Abou Aoun et Mohamed Ben Abdoun, s’étant alliés aux tribus locales au nom des Omeyyades de Cordoue, Ils fondèrent la ville pour commercer. L'activité commerciale prit de l'ampleur et les Andalous furent obligés de bâtir des hangars à Rais El-Ain, un quartier d'Oran préservé jusqu'à présent. Exemple. Oran devient au-delà de tout, la capitale économique du Maghreb. La cité d'or va donc devenir, une fois de plus, une place enviée. Certains de ces douars d’Al Mahaja d’El Gaâda étaient plutôt des centres culturels (écoles coraniques dirigées par de grands (fqihs) jurisconsultes, cas de Sidi Miloud Ben Brahim, de son nom Adda Brahim Miloud) que des centres commerciaux ou des passages obligés pour atteindre une ville. Au temps du commerce caravanier, Les douars d’ Al-Mahaja d'El-Gaâda étaient un relais obligé pour des caravanes se dirigeant vers le grand centre commercial qu'était le port d'Oran ou partant de ce centre pour d'autres places commerciales dans le pays, voire à l'extérieur des frontières qui ont souvent changé au gré des successions dynastiques maghrébines. Ces caravanes venaient des quatre coins du Maghreb et parfois de l'Afrique Noire. C'est pour cette raison que le village prit le nom d' " El-Gaâda", qui signifie relais ou caravansérail. El-Gaâda était alors une halte avant d'atteindre la porte de la ville d'Oran et également une halte avant de se diriger vers un autre centre commercial important en quittant le port d'Oran. El Gaâda-centre (Ain Affeurd) est située à 80 km à l'ouest de Mascara, chef-lieu de la wilaya dont elle dépend depuis juin 1975, à 50 km de Sidi-bel-Abbès et à 40 km au sud-est d'Oran. Ce village dénommé El-Gaâda, jadis commune de la Wilaya d’Oran. Mais après le nouveau découpage territorial de 1975, le village (aujourd'hui petite ville) est une commune rattachée à la Wilaya de Mascara bien que cela apparaisse aberrant pour sa population (en effet, il y a 40 km de distance entre la ville d'Oran et l'extrémité nord de la commune d'El Gaâda et près de 80 km de distance entre la ville de Mascara et l'extrémité sud de la commune d'El Gaâda). Raison supplémentaire de ce découpage aberrant : le village d’El-Gaâda est historiquement plus rattaché à l'histoire d’Oran qu'à l'histoire de Mascara. Le prochain découpage administratif fera passer certainement la commune d'El Gaâda soit dans le futur département (Wilaya) d’Oran. Bien avant dans l'histoire administrative, le douar d'El Gaâda avait fait partie de la commune mixte de Sainte Barbe du Tlelat (actuellement Oued Tlelat) avec 8 autres douars (arrêté du 23/09/1874), puis de la commune mixte de St Lucien (l'actuelle Zahana) qui comprenait en 1884, les douars d'El Ksar, de Oum el Ghelaz, de Sidi-Ghalem, de Tenazet, Oued Tlelat, d'El Teniat, d'El Gaâda et de Toumiat. Cette commune mixte était comprise dans l'arrondissement d'Oran. La population du douar d'El Gaâda était en 1884 de 2839 habitants sur 8498 ha, contre seulement 5000 ha actuellement. Une partie de la population de cette commune mixte était formée des Cheurfas el-Guetarnia (orthographe du capitaine Daumas, consul à Mascara), tribu rattachée à la confédération des Beni-Amer, dont l'aga était Mohammed ould Tamy en 1839, sous Sidi Bou Hamidi khalifa d'Abd el-Kader pour le Gharb (nom correspondant à la division administrative et militaire occidentale de l'ancien beylick d'Oran dans l'organisation de l'émir Abd el-Kader). Aujourd'hui les Cheurfas et les El-Guetarnia ne font pas partie de la commune d'El Gaâda (qui a perdu près de 3 500 ha de superficie au profit de nouvelles communes). Ces deux tribus sont devenues de nouvelles communes. Les Cheurfas el-Guetarnia qui ne sont pas des fractions d’Al-Mahaja, alignaient, d'après Daumas, 500 fantassins et 60 cavaliers. Ces Beni-Amer, d'origine hilalienne, installés au XIVe siècle autour de la Grande Sebkha d'Oran, dans la région de l'actuelle Aïn Témouchent, et dans la plaine de la Mekerra, avaient incorporé depuis le XVIIe siècle des fractions maraboutiques, et étaient passés en masse à la Derkaoua à la fin du XVIIIe siècle. El Gaâda Sa commune est situé a 40Kms au sud-est dans la banlieue d'Oran et s'étalent sur une superficie de 5000Ha). Distance avoisinant d’Oran, Oued Tlelat Ex: Saint barbe du Tlélat ( Oran) 27 Kms, Zahana Ex: St Lucien (Oran) 32 Kms. La Cado usine de la cimenterie (Oran) 37 Kms, El Gaâda (Oran) 40 Kms. Plus avant, El Gaâda avait fait partie de la commune mixte de Sainte Barbe du Tlelat (Oued-Tlelat) avec 8 autres douars (arrêté du 23/09/1874), puis de la Commune Mixte de St Lucien (Zahana) qui comprenait en 1884, les Douars de El Ksar, Oum el Ghelaz, Sidi-Ghalem, Tenazet, Telilat, El Teniat, El Gaâda et Toumiat. Cette commune mixte était comprise dans l'arrondissement d'Oran. La population d'El Gaâda était en 1884 de 2839 habitants sur 8498 ha. Les Douars d'El Gaâda : El Aâraiba, Chorfa, Ain Chorfa, Boudjebha, El Fraïha, Ain Affeurd, Shailia, Ouled Sidi Amar, Souaihia, Blaihia, El Msatfa, El Rmaysiya, El Bghadid, El Jfafla, El Mkhachich, El Twahriya, El Gwasem, El Skarna, Ouled Bahria, El Diyayet, El Zramcha, Ouled M'barek, El Mekhatria, El Bouadid, Ouled Bou Hariz, Ouled Abba Bou, El Saaîdiya, El Kdadra, El zwadra, El Brabir, El Guetarnia, etc. (Avec les phénomènes migratoires internes et externes, de nombreuses familles des Al Mahadja ont quitté depuis longtemps leur village pour s'installer dans les petites et grandes villes d'Algérie et beaucoup sont au Maghreb, Proche-Orient, Europe, Amérique du Nord). Les Familles issues d'Al Mahaja La grande tribu Al-Mahaja a eté découpée en plusieurs clans par l'administration française qui a officialisé des noms patronymiques composant l'arbre généalogique d'Al-Mahaja. Cette administration a commencé par les Ouled Sidi Amar Lakehal. Avant cela, c'était respectivement le prénom du père (précédé ou non de Ben ou Ibn, fils de) et ensuite celui du grand père paternel (précédé ou non de Ben ou Ibn, fils de) qui servaient de nom de famille à chaque individu. La France a révoqué cette coutume et imposé la sienne aux indigènes. C'est une des premières pratiques d'acculturation des Algériens, une pratique non remise en cause après l'indépendance de l'Algérie. On reconnait aujourd'hui les familles Al-Mahaja par les noms suivants : Clan maraboutique des ouled Sidi Amar Lakehal : Chibani Amar Bahi, Bahi Mahi Amar, Lakehal Bouhadi Amar, Slimane Bouhadi Amar, Adda bouhadi amar, Haddou bouhadi amar, Bahi Amar. (Douar Ouled Sidi Amar). Clan maraboutique des ouled Sidi Meflah : Brahim Meflah, M'Cid Bouziane Meflah, Karim Meflah, Bouziane Meflah, M'Cid Meflah, Brahim Bouziane Meflah. (Douar El Aâraiba). Clan maraboutique des ouled Sidi Ahmed Sayah : Hamdaoui (el h'maida), Sayah, Sid Ahmed Sayah, Mahmoud Sayah, Bendraou Sayah, Mahmoud Bendraou Sayah. (Douar Souaihia). Les autres familles : El 'Alem (douar El-Bghadid), Bendia (douar el Dyayate), Belhaoui (douar el Blayhiya), Jenene-Chrif (douar el saaida), Ben Armas et Ben Abdallah-Ben Armas (douar el Rmaisiya), Ben Brahim, etc. Zeddour Mohamed Brahim, Kaddour Brahim, Taïeb Brahim, Freih Brahim, Adda Brahim, Sahraoui Brahim,etc. (douar El Fraiha). Ben Ahmed (douar El Hmaïda), Ben Dya (douar El Djayat), Ben Gabou (douar el Skarna), Derkaoui (douar Chorfa), Bekhechach (douar El Mkhachich), Boukraâ, Ben Aâchour, etc. Les clans maraboutiques ont souvent accueilli un célibataire venu de très loin à la recherche d'un emploi, notamment dans l'une des fermes coloniales (il y en avait sept grands domaines coloniaux), à qui elles ont donné une femme et un gourbi (une case) pour s'établir, ce qui donna naissance à des sous-groupes bien distincts du clan des charifs-marabouts. Ainsi, les Ouled Sidi Amar, par exemple, comprennent quatre de ces sous-groupes étrangers aux charifs-marabouts (les Mrakcha et les Hdaïda). Ces groupes étrangers s’appellent les el 'ouchère (les familles recueillies). Ces familles qui n'appartiennent pas aux Mahaja portent les noms suivants : Bouyekken, Khatat, Dorbane, Bezaouji. D'autres familles maraboutiques qui possédaient beaucoup de terres, comme les El Alem (Douar El-Bghadid) ou les Taïeb Brahim (douar el Fraïha), avaient des esclaves noires qu'ils avaient affranchis au XIXe siècle. Aujourd'hui les descendants de ces esclaves forment une seule tribu appelée Ouled M'Barek. Ces descendants d'esclaves portent les noms de Salem, de Najar, etc. Depuis l'indépendance, ce sont plusieurs familles de bergers nomades venues du Sahara, de la région de Mechria, Boulktob et Naâma (Steppe algérienne du Sud Ouest) qui se sont sédentarisées et établies définitivement dans les quartiers d'El Gaada. Mais, ne jouissant pas d'une réputation valorisante, ces pasteurs et leurs descendants n'ont point réussi à sceller des alliances, par des mariages, avec l'un ou l'autre des clans familiaux Mahaji. Guerre d'Algérie : A environ 3 ou 4 kilomètres d'El-Gaâda-Centre se trouve une grotte appelée Ghar Boudjelida (grotte de chauves-souris) à douar Chorfa qui servit de PC (poste de commandement) du Front de libération nationale (FLN) de la ville d'Oran pendant la guerre d'Algérie Zone 4 (Wilaya V) jusqu'au moment de la capture du résistant anti-colonial Ahmed Zabana. Lors de la bataille de Ghar Boudjelida, l'armée française y lança un assaut contre les indépendantistes le 8 novembre 1954 au cours duquel Ahmed Zabana (Zahana) fut capturé par les troupes françaises. Ramené par l'armée française à dos de mule et déposé, avec ses camarades morts et blessés, devant la porte de l'un des deux garages de l'école communale d'El Gaâda (école fondée en 1905 par l'administration coloniale) pour les montrer aux élèves, l'un des instituteurs pieds-noirs, Monsieur Casé, un agent du renseignement de l'armée française, dit à ses élèves du cours de Fin d'études primaires : "Voilà ce qui vous arrivera si vous suivez les rebelles". Suite à cette bataille, la population de Ain Afferd aura droit à une matinée de propagande : un discours de lavage de cerveau, en arabe populaire, avec des hauts parleurs pour dissuader la population de soutenir le FLN, en traitant de tous les noms les résistants. Hélas pour les idéologues du colonialisme, la région ne sera pas pacifiée pour autant, elle fournira à la Résistance anticoloniale, pendant toute la guerre d'Algérie (1954-1962), un grand nombre de moudjahidines et de martyrs. Mais comme dans toutes les régions d’Algérie, cette localité a aussi fourni à l’histoire de la Résistance anticoloniale son lot, parmi les chourafa (nobles), les marabouts et leurs serviteurs (khoudem), de farouches résistants à la colonisation, de tièdes partisans de l’Algérie française, des familles qui ne se sont engagées dans rien (les spectateurs de l'histoire); et également son contingent de harkis et collaborateurs convaincus par l'invincibilité de la puissance de feu du colonisateur et singulièrement quelques choufs , c'est-à-dire des éléments harkis infiltrés par le FLN dans l’armée française, pour aider l’A.L.N (Armée de libération nationale) à se déplacer en sécurité (éviter les embuscades, les ratissages et les encerclements). Après les durcissements de le guerre en 1957 et les massacres commis par l'armée française contre les populations des douars des Rmaissiya, des Twahria, des Gwasem, et d'autres., tous soupçonnés d'héberger et d'aider les maquisards, et surtout après les tentatives d'humiliation de la population de Ain Affeurd - l'obligation de chaque famille de venir au complet chaque matin assister à la levée du drapeau français devant la mairie d'El Gaâda -, certains chefs de familles fières de leurs origines et sous surveillance permanente des collaborateurs antinationalistes qui voulaient gagner des galons, ont préféré s'exiler et mettre leurs familles à l'abri dans l'un des quartiers de la ville d'Oran, comme le quartier Lamur arrondissement d’El Hamri et le quartier Victor Hugo (Tirigou) arrondissement de Ibn Sina , où on retrouve à présent une forte concentration des familles originaires d'El Gaâda. La population d'El Gaâda a commencé à être un peu soulagée, lorsque le chef des collaborateurs, un ancien caporal de l'armée française, le dénommé Djenen Chrif Ben Yamna, dit "El Kabrane" (le caporal), a été abattu en pleine nuit, devant chez lui, par un membre de l'ALN qui réussit à prendre la fuite, malgré l'impressionnant déploiement de l'armée française, ses harkis et ses collaborateurs. L'homme a été averti maintes fois par son fils, le nommé Saïd (qui donnait des renseignements au FLN glanés à l'insu de son père) de cesser sa collaboration avec l'armée française, mais n'a rien voulu savoir; bien au contraire, il avait l'habitude de s'adressait avec mépris aux Mahaja en croyant à l'éternité de l'Algérie française. Son exécution a retenti comme un cataclysme dans toute la région, jusqu'aux villes de Sig, Oued Imbert, Bel-Abbès, Oran,... où s'étaient exilées les familles d'El Gaâda menacées par l'armée française et ses collaborateurs indigènes. La mort horrible de cet homme (le tireur a visé la tête, après la chute du corps, les témoins ont vu ses chiens dévorer son cerveau) a servi à montrer à tous les petits collaborateurs indigènes locaux et aux partisans indigènes de l'Algérie française que le FLN peut, à tout moment, les atteindre quelles que soient les protections dont ils croient bénéficier. Les familles révolutionnaires avaient quitté El Gaâda pour s'installer dans les grandes villes de l'Oranie, les braves garçons ayant rejoint le maquis ou les groupes de fidaiyines, les petits collaborateurs d'El Gaâda se sont calmés parce qu'ils ne restaient en face d'eux, en grande majorité que des familles spectatrices de l'histoire. Le village va bénéficier d'extensions côté Est et côté Sud de Ain Affeurd (le centre historique), avec deux nouveaux quartiers : le quartier Elgroumma (le Regroupement) où l'armée française a fait construire et héberger les habitants expulsés de leurs douars; et le quartier de Laçasse, qui est en fait le SAS (Service d'Action et de Sensibilisation) logé dans une caserne construire en 1956 en face de laquelle fut installées à la hâte quelques rangées de minuscules maisons en parpaings et taules ondulées (probablement en amiante) pour héberger uniquement les harkis et leurs familles.
youcef - commercant - Montréal, Canada

17/02/2011 - 11488

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Originaire de M'cid (mehadja 4O CHACHIYAS) la fraction de ouled sidi el Hachemi dont leur grand pére s'appelle sidi ali bekhadda la majorité sont installés prés de Mostafa benbrahim, j'aime bien savoir plus sur cette fraction j'ai entenduis que la fraction de ouled sidi el hachemi porte 18 noms de famille
Bensaidi Mohamed - Fonctionnaire SONATRACH - Sidi Bel'Abbés, Algérie

28/11/2010 - 8709

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originaire d'elgaada ,j aimerai bien avoir des renseignement sur les 40 chachia.. merci
ferah - oran
28/10/2009 - 4447

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merci a vous dabord je suis dorigine de cette commune des mhajas 40 chachia qui ets vou etes vous des notre de la famille des six noms ou non
sahraoui brahim - employe commerce - mostaganem
24/05/2009 - 3453

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El Gaada est un village d'Algérie, est le premier village de la banlieue d’Oran situé à 39 km au sud-est dans la banlieue d'Oran et s'étalent sur une superficie de 5000 hectares. Les habitants de ce village sont les descendants des Chorafas d'Al Mahaja. Les Douars ils paraissent être une des premières tribus constituées dans l’ Oranie occidentale, avant l’arrivée des Fatimides au Maghreb, ils constituaient les douars, Ain Affeurd, Chorfa, Souahia et El Aaraiba. Se sont installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière appéllée Ain Chorfa (Source Aristocrate) en l’honneur des Chorafas d’Al Mahaja. Exemple. Oran devient au-delà de tout, la capitale économique du Maghreb. La cité d'or va donc devenir, une fois de plus, une place enviée. Les Douars des Al Mahaja devenu un relais obligé pour les caravanes venant des quatre coins du Maghreb pour le commerce au port d’Oran et ce village appelé en suite El Gaada qui signifie littéralement Caravansérail. Dans ce village El Gaada ou se trouve, Ghar Boudjelida (grote de chauve souris), C'était le PC (poste de commandement) du front de libération nationale (FLN) de la ville d'Oran pendant la guerre d'Algérie (Wilaya V). Al Mahaja Ses ancêtres remontent à Idriss II (fondateur de la dynastie Idrisside 788-985 à la fin du 8 ème siècle) par son fils Mohammed Ibn Idris et le fils de ce dernier Ahmed ben al-Qasim Kannun. Aura naissance de la première dynastie musulmane, d’origine moyenne- oriental, Ce descendant s’est installé en Algérie et a fondé son arche d’ Al Mahaja dans un village qui s’appelle Sidi Ben Amer et Chabet Sidi Meflah prés de Tlemcen. Après des années c’est village a pris de l’ampleur et une partie de sa population a émigré vers autre nouveau village a l’Ouest de l’Algérie comme le village Oued Mebtouh, Boudjebha et M’Cid (école coranique) près de la ville Sfisef Wilaya de Sidi Bel Abbés. Zidoria près de Mascara, et une autre partie vers un village d’El Gaada prés d’Oran. Après avoir connu quelques vicissitudes l’époque ou Idrissi vantait son commerce et artisans. Chorafas se sont décernés ou fait décerner des sajara ou abres généalogiques les rattachant a El Hassan fils de Ali et Fatima la fille du prophète Mohamed. Vivent en majeure partie au Nord du Maroc et à l’Ouest de l’Algérie. La famille est connue alors sous le nom de Al-Mahaja, comme le veut la tradition familiale. Ce village dénommé El Gaada, Jadis appartenait à la Wilaya d’Oran. Mais après le nouveau découpage territorial de 1976, Il fait partie désormais de la Wilaya de Mascara sachant que la distance séparant El Gaada de Mascara est supérieure à 80 Kms. Le village d’El Gaada avec une riche histoire associée a celle d’Oran, aurait du être inclee dans le territoire de la Wilaya d’Oran et non pas dans celui de Mascara. Pourquoi le découpage territorial a divisé les habitants indigènes de la ville d'Oran par d’autres wilayas, comme les Zmalas a Ain Temouchent, El Ghoualem a Sidi-Bel-Abbès, EL Gherabas et Al Mahaja a Mascara. Oran naquit vers l'an 900 en pleine période des Idrisside et les habitants d’El Gaada sont des Idrisside.
naima - oran
15/04/2008 - 1164

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