Recherche informations sur la commune de Ain Beida
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pourquoi vous amplifiez tjrs les choses AB compte seulement 120000 Habitants et ne peut meme pas etre une wilaya a cause de la distance entre AB et OEB donc il faut que vous soyez réaliste et penser comment enrichir tout le04 et ne pas etre igoiste
mohamed - oum, el bouaghi
14/06/2009 - 3626
Aîn-Béîda est la plus grande daîra de la wilaya d'oum el bouaghi . elle compte environ deux cent mille habitants . Elle a été par le passé un centre de rayonnement cuturel d'importance national. Elle a vu naître et grandir de grandes figures littéraires,comme Mohamed El Aîd El Khalifa,Rachid Boudjedra,Chérif Chenatlia,Lazhar Baâziz,et tant d'autres encore. De grands peintres aussi y sont nés,tels Rachid Koréichi,djamel Louafi,Rachid Benmechri,Les frères Boumegoura,Sahdi Fatah,Saîghi,Abdellaoui...Mais Aîn-Béida reste surtout connue pour son illustre tapis,le tapis des Haractas qui a acquis une renommée internationale . Malheureusement la pratique de l'artisanat a connu un grand recul,étant entendu que sa pratique ne rapporte plus . Le prix de la laine étant devenu prohibitif,beaucoup d'artisans tisserands ont abandonné le métier de la laine qui faisait la fièrté de toute la région des Aurès . Il faudra que l'état encourage cette forme d'art traditionnel,sans lequel il ne sera pas possible de promouvoir le tourisme local et pourquoi pas le tourisme international . Aîn Béida a subi à son corps défendant un exode rural effréné au cours des années soixante dix et puis durant la décennie noire . Aussi le chômage s'en est trouvé développé au détriment de l'essor économique que tout un chacun espérait,avant cette déferlante dont la conséconque majeure est le retard social et même culturel . Il n'existe plus aujourd'hui à Aîn-Béida de vrais espaces culturels,à même d'instruire et de divertir la frange des jeunes qui ,faute de tels lieux se calfeutrent dans les cybercafés . Autant dire qu'ils cherchent à fuir l'amère réalité . L'espoir nourri par toute la population béidie est de voir leur cité promue au grade de wilaya,ce qui contribuera sans doute à la sortir de sa monotonie et de sa léthargie . L'espoir reste permis,d'autant qu'Aîn-Béida recèle d'immenses potencialités et ce dans tous les secteurs .
lazhar baaziz - journaliste
16/08/2007 - 295
mohamed - oum, el bouaghi
14/06/2009 - 3626
Aîn-Béîda est la plus grande daîra de la wilaya d'oum el bouaghi . elle compte environ deux cent mille habitants . Elle a été par le passé un centre de rayonnement cuturel d'importance national. Elle a vu naître et grandir de grandes figures littéraires,comme Mohamed El Aîd El Khalifa,Rachid Boudjedra,Chérif Chenatlia,Lazhar Baâziz,et tant d'autres encore. De grands peintres aussi y sont nés,tels Rachid Koréichi,djamel Louafi,Rachid Benmechri,Les frères Boumegoura,Sahdi Fatah,Saîghi,Abdellaoui...Mais Aîn-Béida reste surtout connue pour son illustre tapis,le tapis des Haractas qui a acquis une renommée internationale . Malheureusement la pratique de l'artisanat a connu un grand recul,étant entendu que sa pratique ne rapporte plus . Le prix de la laine étant devenu prohibitif,beaucoup d'artisans tisserands ont abandonné le métier de la laine qui faisait la fièrté de toute la région des Aurès . Il faudra que l'état encourage cette forme d'art traditionnel,sans lequel il ne sera pas possible de promouvoir le tourisme local et pourquoi pas le tourisme international . Aîn Béida a subi à son corps défendant un exode rural effréné au cours des années soixante dix et puis durant la décennie noire . Aussi le chômage s'en est trouvé développé au détriment de l'essor économique que tout un chacun espérait,avant cette déferlante dont la conséconque majeure est le retard social et même culturel . Il n'existe plus aujourd'hui à Aîn-Béida de vrais espaces culturels,à même d'instruire et de divertir la frange des jeunes qui ,faute de tels lieux se calfeutrent dans les cybercafés . Autant dire qu'ils cherchent à fuir l'amère réalité . L'espoir nourri par toute la population béidie est de voir leur cité promue au grade de wilaya,ce qui contribuera sans doute à la sortir de sa monotonie et de sa léthargie . L'espoir reste permis,d'autant qu'Aîn-Béida recèle d'immenses potencialités et ce dans tous les secteurs .
lazhar baaziz - journaliste
16/08/2007 - 295
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Posté Le : 02/06/2006
Posté par : hichem