Algérie


RCR
Alors que les fans du RCR refusent de fuir les débats autour de l'exploit réalisé par les Lions dans un championnat amplement disputé et qui leur a permis de retrouver la ligue II après 24 ans d'absence, le staff administratif, à leur tête le président Mohamed Zerrouki sort de son mutisme et menace de quitter le Rapid.«Nous avons abandonné nos entreprises, nous avons sacrifié nos famille et nous avons dépensé gros pour réussir cette accession et surtout procurer cette grande joie à notre valeureux public. Maintenant que le RCR est parmi les grands, nous avons jugé utile d'éclairer toute l'opinion sportive sur le calvaire qu'on a vécu durant le challenge», a souligné Zerrouki. «La maison du Rapid était en ruine et nous avons, nous les membres, entamé les opérations de réhabilitation qu'il fallait, à commencer par les vestiaires, les chambres de l'auberge d'El Matemar où vivaient l'équipe et surtout le siège du bureau où nous nous sommes réunis maintenant», a-t-il dit en ajoutant : «Cet exploit nous a coûté, depuis sa préparation, pas moins de 11 milliards 200 millions et la grande partie, soit plus de 50%, est venue des poches des membres du staff administratif et c'est pas chose facile et jusqu'à l'ultime journée du championnat, nous avons été contraints de réaliser une collecte de pas moins d'un milliard 600 millions pour régler les créances du RCR et nos registres sont à 0 dette».




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