RCK : Faire le plein et... attendre

JSMC : L'histoire se répète,Chéraga respectera l'éthique
Les joueurs du RCK ont repris, lundi matin, le chemin des entraînements sous la houlette de Mustapha Biskri. Une reprise marquée par la présence de l'ensemble des joueurs sous une bonne ambiance. Ainsi, c'est avec un groupe au complet (sans les récalcitrants) que le Raed devra préparer le reste de la compétition. Avant cela, le club accueillera l'IBL, avant de disputer deux matchs décisifs et déterminants pour la suite du championnat. D'abord, l'équipe fera le déplacement à Boussaâda pour se mesurer au leader, avant de recevoir le dauphin, M'sila. Après ces deux importants rendez-vous, le RCK se déplacera à Boufarik, puis évoluera par la suite à domicile contre le PAC, une formation qui a déjà assuré son maintien, avant d'effectuer le dernier déplacement de la saison pour croiser le fer avec l'ESG. En fin de parcours, le RCK accueillera le NRBR. Sept matchs, a priori, difficiles, à négocier vu la qualité de l'adversaire et l'état d'esprit qui règne au sein du club koubéen. Mais tout reste jouable, dans la mesure où mathématiquement, rien n'est encore joué et le Raed a toutes ses chances d'accéder. C'est ainsi que les dirigeants veulent mettre la pression sur le groupe et exigent les vingt et un points lors des sept prochaines rencontres. De son côté, le staff technique koubéen, à sa tête Mustapha Biskri, n'a pas hésité à secouer ses éléments et les inciter à se concentrer plus sur leur travail, tout en les motivant à réaliser ce challenge. Pour lui, le RCK doit impérativement réussir un sans faute, si les joueurs veulent sauver leur saison et replacer ainsi le RCK en Ligue 2.
D'abord, stopper l'ABS dans son jardin !
Gagner toutes les rencontres permettra au club d'espérer et d'éviter une fin de saison morose. A présent, les Koubéens ne veulent pas abdiquer et croient dur comme fer à un retour parmi les grands. Certes, l'équipe garde toutes ses chances intactes pour le sacre, mais au rythme où vont les choses, l'avenir du club est compromis. Il faut faire le plein mais aussi attendre un cadeau du ciel. Afin de ne pas fausser les calculs, les coéquipiers de Bellat sont, d'abord, dans l'obligation de défier l'ABS, chez lui. Battre Boussaâda dans son jardin ouvrira les portes de la L2 aux Koubéens et confirmera leur mérite d'accéder. Donc, la balle est dans le camp des joueurs et des dirigeants et l'équipe n'a plus droit à l'erreur. De leur côté, les joueurs ont bien reçu le message et sont déterminés à atteindre leur principal objectif...
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JSMC :
L'histoire se répète,Chéraga respectera l'éthique
Le staff technique de la JSMC poursuit son travail, en prévision de la suite de la compétition. Après le derby remporté contre l'USMC, l'équipe de Chéraga a été contrainte au repos forcé. Les coéquipiers de Slimani se sont, donc, bien reposés et préparent convenablement le match de vendredi face à l'ABS. Ils aborderont un virage important pour la suite du championnat, car l'ultime objectif est de terminer à la quatrième marche. D'une part, les Chéragois sont tenus de confirmer leur succès contre le frère ennemi, d'autre part, ils seront appelés, une nouvelle fois, à jouer l'arbitre. C'est pratiquement le même scénario de la saison passée avec l'arrivée du leader, sauf que cette fois, le nom de l'adversaire est Boussaâda. Ainsi, la JSMC ne pourra que respecter l'éthique et jouer le jeu, comme elle l'a fait auparavant. Un duel palpitant attend les protégés de Bacha qui semble avoir trouvé la bonne formule pour que son équipe parvienne à arracher un résultat probant.

PAC :
La lourde défaite du PAC à Boussâada est due à plusieurs raisons.
En effet, les Jaune et Bleu ont souffert, dès leur arrivée au stade. D'abord, il y a les stadiers qui sont venus spécialement pour menacer et embêter les joueurs. Il faut dire que personne n'a échappé aux menaces et insultes des stadiers, même avant l'entrée aux vestiaires. D'après nos sources, les responsables qui ont effectué le déplacement étaient eux aussi visés. D'ailleurs, certains d'entre ont échappé de justesse à des agressions. Lors des séances d'échauffement, des supporteurs ont envahi le terrain pour ensuite menacer les joueurs qui ont effectué l'échauffement sans ballon, puisque les supporteurs les ont pris. Le jeune gardien Hamza Bousder a entamé le match sans échauffement, ce qui lui a coûté cinq buts. Tout s'est passé en présence de l'arbitre et le délégué du match qui n'ont même pas pris la peine de bouger pour protéger au moins les joueurs visiteurs des supporteurs qui ont envahi le terrain. C'est la façon avec laquelle des équipes des divisions inférieures réussissent l'accession en Ligue professionnelle.
Les joueurs et le staff technique sont aussi responsables
Ce qui est arrivé aux coéquipiers de Hamza Bousder n'est pas une raison pour s'incliner sur un score de cinq buts à zéro. Eux aussi sont responsables de cette lourde défaite, à cause de leur mauvais rendement. Par ailleurs, le responsable du staff technique a lui aussi sa part de responsabilité, l'expérience de Hamza Karboua, Defnoun et Benachour était nécessaire. Il ne fallait pas prendre le risque d'aligner une jeune équipe.
Tout pour se racheter face au NARBR
Lors de la prochaine journée, les Pacistes n'auront pas d'autre choix que de remporter le match. Cette fois, la mission ne sera pas facile devant une équipe qui joue pour sa survie. En effet, en recevant le NARBR, les Jaune et Bleu doivent prendre les mesures nécessaires pour remporter le match à n'importe quel prix, même sur un score étriqué.