Algérie

Raz-de-marée au marché hebdomadaire Skikda, Aïd El Fitr


Raz-de-marée au marché hebdomadaire                                    Skikda, Aïd El Fitr
C'est un véritable raz-de-marée que le marché hebdomadaire de Skikda, situé au c'ur de la cité des Frères-Saker, a vécu les derniers jours avant l'Aïd rarement observé ici, a-t-on constaté sur place.
C'est un véritable raz-de-marée que le marché hebdomadaire de Skikda, situé au c'ur de la cité des Frères-Saker, a vécu les derniers jours avant l'Aïd rarement observé ici, a-t-on constaté sur place.
Fréquenté par des commerçants de plusieurs wilayas de l'est du pays, notamment d'Annaba et de Constantine, ce marché "n'a jamais connu une telle affluence", affirme Mohamed, 45 ans, vendeur de tissus et habitué de ce lieu.
Il tente d'expliquer cette véritable ruée par le fait que c'est le dernier jour de marché avant l'Aïd.
Cet avis se vérifie sur place car il y est loisible de constater que la gent féminine compose la majeure partie de la foule des clients. Soucieuses de trouver de bonnes occasions pour les emplettes de l'Aïd, notamment les vêtements pour enfants, les femmes semblent s'être donné le mot pour se retrouver dans ce marché dont la réputation semble pourtant surfaite.
En effet, si cette mère de famille est satisfaite de sa virée ici, et estime qu'il a le mérite d'offrir un grand choix et une grande variété de marchandise, cette autre est déçue par les prix qui y sont pratiqués et qui sont, selon elle, aussi chers que dans les magasins. L'affluence sur ce marché est telle qu'il faut jouer des coudes pour se frayer un chemin dans cette foule compacte que ni la chaleur caniculaire ni la soif du mois de jeûne n'a pu dissuader de se ruer sur ce lieu réputé, à tort ou à raison, d'être plus clément pour les budgets des ménages, déjà saignés à blanc par les dépenses du Ramadhan et qui doivent encore faire face à d'autres occasions budgétivores que sont l'Aïd et la rentrée scolaire. Les client qui affluent vers ce marché de toutes les régions de la wilaya, et même d'ailleurs, sont généralement accompagnés de leurs enfants afin de les aider à choisir des vêtements de l'Aïd mais qui, une fois sur place se retrouvent à vouloir acquérir les articles les plus chers piquant des crises de nerfs en public quand les parents refusent de céder à leur caprices, comme ce petit garçon dont le choix s'est porté sur une paire d'espadrilles à 3.500 dinars, au grand désespoir de sa maman.
Pris entre le marteau de la cherté des prix et l'enclume des désirs des enfants, les familles aux revenus modestes ne trouvent d'autres issues que de se rabattre sur le pavillon du marché réservé à la friperie.
Les commerçants pour leur part expliquent cette hausse vertigineuse des prix par leur augmentation dans les marchés de gros notamment à Tadjenanent (Mila) et à Aïn M'lila (Oum El-Bouaghi), et ce en raison, argumentent-ils, des taxes douanières payées à l'importation.
Fréquenté par des commerçants de plusieurs wilayas de l'est du pays, notamment d'Annaba et de Constantine, ce marché "n'a jamais connu une telle affluence", affirme Mohamed, 45 ans, vendeur de tissus et habitué de ce lieu.
Il tente d'expliquer cette véritable ruée par le fait que c'est le dernier jour de marché avant l'Aïd.
Cet avis se vérifie sur place car il y est loisible de constater que la gent féminine compose la majeure partie de la foule des clients. Soucieuses de trouver de bonnes occasions pour les emplettes de l'Aïd, notamment les vêtements pour enfants, les femmes semblent s'être donné le mot pour se retrouver dans ce marché dont la réputation semble pourtant surfaite.
En effet, si cette mère de famille est satisfaite de sa virée ici, et estime qu'il a le mérite d'offrir un grand choix et une grande variété de marchandise, cette autre est déçue par les prix qui y sont pratiqués et qui sont, selon elle, aussi chers que dans les magasins. L'affluence sur ce marché est telle qu'il faut jouer des coudes pour se frayer un chemin dans cette foule compacte que ni la chaleur caniculaire ni la soif du mois de jeûne n'a pu dissuader de se ruer sur ce lieu réputé, à tort ou à raison, d'être plus clément pour les budgets des ménages, déjà saignés à blanc par les dépenses du Ramadhan et qui doivent encore faire face à d'autres occasions budgétivores que sont l'Aïd et la rentrée scolaire. Les client qui affluent vers ce marché de toutes les régions de la wilaya, et même d'ailleurs, sont généralement accompagnés de leurs enfants afin de les aider à choisir des vêtements de l'Aïd mais qui, une fois sur place se retrouvent à vouloir acquérir les articles les plus chers piquant des crises de nerfs en public quand les parents refusent de céder à leur caprices, comme ce petit garçon dont le choix s'est porté sur une paire d'espadrilles à 3.500 dinars, au grand désespoir de sa maman.
Pris entre le marteau de la cherté des prix et l'enclume des désirs des enfants, les familles aux revenus modestes ne trouvent d'autres issues que de se rabattre sur le pavillon du marché réservé à la friperie.
Les commerçants pour leur part expliquent cette hausse vertigineuse des prix par leur augmentation dans les marchés de gros notamment à Tadjenanent (Mila) et à Aïn M'lila (Oum El-Bouaghi), et ce en raison, argumentent-ils, des taxes douanières payées à l'importation.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)