Algérie

Rajah Meziane, dauphine du concours Alhan oua Chabab à La voix de l’Oranie



Un premier album dédié à l’enfance algérienne Rajah Meziane, la jeune stagiaire de l’école d’Alhane Oua Chabab, qui s’est illustrée tout au long du concours final pour décrocher une honorable deuxième place, a accordé un entretien à La voix de l’Oranie où elle parle des nouvelles perspectives qui s’offrent à elles pour la poursuite de son parcours artistique. V.O: Rajah Meziane est-elle remise de son succès artistique au concours d’Alhan Oua Chabab? R.M: Pour pouvoir parler de réussite artistique, je dirais que le parcours est encore long. Actuellement je m’intéresse à l’enfant et au théâtre. Vous n’êtes pas sans savoir que je suis actuellement sous contrat avec l’école d’Alhan Oua Chabab. Au terme de mon contrat, mon premier projet sera un CD dédié à l’enfant algérien en plus des activités au sein des établissements scolaires et le théâtre. -En quoi consiste le contrat avec l’école d’Alhan Oua Chabab? -L’école a élaboré un programme artistique qui consiste en une tournée dans les grandes villes du pays et à l’étranger avec un déplacement au Liban, en France et plusieurs pays arabes. -Cela ne risque-t-il pas d’entraver vos études? -Je tiens à poursuivre mes études universitaires, je termine actuellement ma quatrième année en droit administratif. En vérité, je privilégie mes études à la carrière artistique. L’artiste doit accorder une bonne place au savoir. Pour ma part, j’ai réintégré l’université. L’essentiel pour moi est de réussir à concilier études et carrière artistique et j’essaie de faire de mon mieux. -A travers le nouvel album, c’est un vœu d’enfant qui se réalise? -Je suis une enfant. Il y a en chacun de nous un enfant, innocent et qui ne sait pas mentir. Rajah a vécu, grâce à Dieu, son enfance dans le vrai sens du terme. -Pendant le concours, personne ne savait que vous étiez une fille de Maghnia. -Je suis une fille de Maghnia et tous les Maghnaouis connaissent la famille Meziane. Je suis fière d’appartenir à cette ville même si je considère que j’ai représenté tout l’ouest algérien, d’Oran jusqu’à Maghnia. -La célébrité a-t-elle eu des répercussions sur le comportement de Rajah? -C’est une bonne question. Rajah n’a pas changé après son succès. Ce qu’il y a de nouveau, c’est que désormais je dois faire preuve de plus de responsabilité et d’humilité. Il n’y pas lieu de montrer de la réserve envers ceux qui vous ont porté. C’est le public qui a fait de Rajah ce qu’elle est devenue, je dois remercier tous ceux de Maghnia, Tlemcen et d’Oran qui m’ont soutenue. B.D/G.M


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