Quid des galeries '

Des locaux d'un autre type sont dans la même situation et se trouvent au centre ville du Khroub. Ce sont les anciennes galeries. Sur cent locaux, seulement quatre sont occupés à cause, toujours, des complications liées au mode d'attribution.Chaque local a été attribué à deux personnes, espérant qu'ils travaillent ensemble et dans le but d'accueillir plus de gens. Hèlas ça n'a pas marché car chacun veut être seul ce qui est logique puisque les bénéficiaires n'ont pas un projet commun. Il reste 76 sur 100 qui sont inoccupés. «Les galeries algériennes n'appartiennent pas à l'APC, elles sont des concessions faites par le ministère de commerce.Et la question patrimoniale se pose, à savoir quelle est la marge de manoeuvre de l'APC pour intervenir ' C'est que nous avons l'intention, dans le cadre de notre projet urbain, de reprendre cette surface et en faire une belle structure commerciale comme ça se fait un peu partout dans les grandes villes» a avancé Abdelhamid Aberkane.Le maire a conclu que, l'APC a un projet urbanistique économique qui comprend ces anciennes galeries en plus du marché de la cité 1 600 lgts. Ce dernier se trouve dans un état épouvantable, où le travail informel règne : il y a beaucoup de dégâts, de piratage d'électricité, de dangers et de menaces. C'est pourquoi, les commerçants du 1600 seront probablement déménagés dans ces galeries le temps de refaire le marché.