Encore une fois, la situation se corse davantage au sein du plus vieux parti. Des opposants montent au créneau contre Djamel Ould Abbés, l'actuel Secrétaire général, menés par un membre du bureau de celui-ci, en l'occurrence Mustapha Mazouzi. Ces protestataires affirment dans un communiqué, représenter plus d'une centaine de membres du comité central réunis à Alger.Encore une fois, la situation se corse davantage au sein du plus vieux parti. Des opposants montent au créneau contre Djamel Ould Abbés, l'actuel Secrétaire général, menés par un membre du bureau de celui-ci, en l'occurrence Mustapha Mazouzi. Ces protestataires affirment dans un communiqué, représenter plus d'une centaine de membres du comité central réunis à Alger.Ces derniers demandent la mise en place d'une commission pour faire «un inventaire précis des biens et des comptes du parti». Ce dernier estime que «les enfants du FLN veulent une direction sage et ambitieuse». L'actuelle, accuse-t-il, «a dévié de la ligne directrice et des principes novembristes sur lesquels s'était fondé le parti».Même si, le FLN a repris son leadership en remportant pas moins de 161 sièges, cet acquis n'était pas sans conséquences pour les militants du FLN, qui pour eux, leur parti est en plein recul. Les signataires dressent un tableau noir de la situation du FLN. Ils évoquent notamment «l'exclusion totale des institutions et structures (du parti), la confiscation de leurs prérogatives » et la «faiblesse du discours politique durant la campagne électorale pour les législatives du 4 mai».Selon eux, ce discours était médiocre et personnel ayant suscité des réactions négatives et ironiques au sein de l'opinion publique et parmi les militants. Ces cadres du FLN ont appelé, à l'organisation d'une réunion extraordinaire du comité central «pour évaluer la situation du parti et situer les responsabilités en application du principe du contrôle et du renouvellement ou retrait de confiance de la direction».Faisant allusion à l'affaire du fils du Secrétaire général du parti et d'un membre de son bureau politique, ces cadres exigent aussi des détails sur «ce qui a été rapporté par les médias » sur les soupçons de «corruption» ayant entaché «la préparation des listes pour les élections législatives». Ils demandent aussi «des comptes aux personnes impliquées» dans ces affaires. La guerre semble déclarée !En attendant la suite d'un autre épisode de ce feuilleton qui n'est pas à son premier puisque des situations similaires ont fait couler beaucoup d'encre, en l'occurrence celle de Belkhadem et de Ammar Saadani, où plusieurs militants et cadres ont lancé une anti-campagne contre eux. Les redresseurs se sont constitués en mouvement pour remettre le FLN sur «sa ligne politique».Ils avaient pour mission d'actionner tous les mécanismes réglementaires, constitutionnels et organisationnels pour remettre le parti dans sa vraie ligne politique. Pour eux, le mouvement est «une réponse à l'appel de détresse de la base». D'ailleurs, ils n'hésitent plus à accuser leurs leaders de s'être «octroyé le droit d'enfreindre la loi et les règles du parti à plusieurs reprises».Ces derniers demandent la mise en place d'une commission pour faire «un inventaire précis des biens et des comptes du parti». Ce dernier estime que «les enfants du FLN veulent une direction sage et ambitieuse». L'actuelle, accuse-t-il, «a dévié de la ligne directrice et des principes novembristes sur lesquels s'était fondé le parti».Même si, le FLN a repris son leadership en remportant pas moins de 161 sièges, cet acquis n'était pas sans conséquences pour les militants du FLN, qui pour eux, leur parti est en plein recul. Les signataires dressent un tableau noir de la situation du FLN. Ils évoquent notamment «l'exclusion totale des institutions et structures (du parti), la confiscation de leurs prérogatives » et la «faiblesse du discours politique durant la campagne électorale pour les législatives du 4 mai».Selon eux, ce discours était médiocre et personnel ayant suscité des réactions négatives et ironiques au sein de l'opinion publique et parmi les militants. Ces cadres du FLN ont appelé, à l'organisation d'une réunion extraordinaire du comité central «pour évaluer la situation du parti et situer les responsabilités en application du principe du contrôle et du renouvellement ou retrait de confiance de la direction».Faisant allusion à l'affaire du fils du Secrétaire général du parti et d'un membre de son bureau politique, ces cadres exigent aussi des détails sur «ce qui a été rapporté par les médias » sur les soupçons de «corruption» ayant entaché «la préparation des listes pour les élections législatives». Ils demandent aussi «des comptes aux personnes impliquées» dans ces affaires. La guerre semble déclarée !En attendant la suite d'un autre épisode de ce feuilleton qui n'est pas à son premier puisque des situations similaires ont fait couler beaucoup d'encre, en l'occurrence celle de Belkhadem et de Ammar Saadani, où plusieurs militants et cadres ont lancé une anti-campagne contre eux. Les redresseurs se sont constitués en mouvement pour remettre le FLN sur «sa ligne politique».Ils avaient pour mission d'actionner tous les mécanismes réglementaires, constitutionnels et organisationnels pour remettre le parti dans sa vraie ligne politique. Pour eux, le mouvement est «une réponse à l'appel de détresse de la base». D'ailleurs, ils n'hésitent plus à accuser leurs leaders de s'être «octroyé le droit d'enfreindre la loi et les règles du parti à plusieurs reprises».
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Posté Le : 22/05/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : IDIR AMMOUR
Source : www.lemidi-dz.com