Qui a trompé l'agence Sputnik '

Le correspondant de l'agence de presse russe Sputnik, à Alger, a attribué à Abdelaziz Rahabi des propos que ce dernier dément avoir tenus, affirmant qu'il n'a fait aucune déclaration à aucun média.Le correspondant de l'agence de presse russe Sputnik, à Alger, a attribué à Abdelaziz Rahabi des propos que ce dernier dément avoir tenus, affirmant qu'il n'a fait aucune déclaration à aucun média.
D'ailleurs, l'agence russe vient de reconnaître avoir été induite en erreur. Elle a fait hier son mea-culpa, en reconnaissant son erreur. Dans un communiqué sur son site internet, cette agence de presse admet que c'est une personne se passant pour Abdelaziz Rahabi, qui lui a tenu des propos sur la situation politique que vit le pays. L'agence dit détenir les enregistrements. Cette "bévue" intervient au moment où l'ancien ambassadeur à Madrid joue un rôle prépondérant dans la préparation de la conférence de l'opposition, en vue de l'ouverture d'un dialogue avec le pouvoir en place.
Ce n'est pas la première fois, que l'agence russe se fait piéger. Ce média officiel, dont la tendance épouse la politique étrangère de Moscou, a dévié plusieurs fois de sa ligne, s'agissant de la situation en Algérie. Des observateurs se sont, dès lors, interrogés sur les dessous de ces "dérapages" répétitifs, qui tendent à aligner la position de Moscou dans les dossiers internationaux sur celle de certaines capitales occidentales en manipulant l'opinion publique à travers des articles orientés.
D'ailleurs, l'agence russe vient de reconnaître avoir été induite en erreur. Elle a fait hier son mea-culpa, en reconnaissant son erreur. Dans un communiqué sur son site internet, cette agence de presse admet que c'est une personne se passant pour Abdelaziz Rahabi, qui lui a tenu des propos sur la situation politique que vit le pays. L'agence dit détenir les enregistrements. Cette "bévue" intervient au moment où l'ancien ambassadeur à Madrid joue un rôle prépondérant dans la préparation de la conférence de l'opposition, en vue de l'ouverture d'un dialogue avec le pouvoir en place.
Ce n'est pas la première fois, que l'agence russe se fait piéger. Ce média officiel, dont la tendance épouse la politique étrangère de Moscou, a dévié plusieurs fois de sa ligne, s'agissant de la situation en Algérie. Des observateurs se sont, dès lors, interrogés sur les dessous de ces "dérapages" répétitifs, qui tendent à aligner la position de Moscou dans les dossiers internationaux sur celle de certaines capitales occidentales en manipulant l'opinion publique à travers des articles orientés.