Questions d?écologie
Plus gravement déclarées l?été, les questions liées à l?environnement algérien ne sont pas à circonscrire stricto sensu au nombre de sacs plastiques et gaz de grosses cylindrées de nouvelles arrogantes castes sociales dégagés outrageusement. Et dont toutes les incidentes nous conduisent à croire que ce n?est pas demain la veille que de vrais touristes se risqueront à choisir la destinée Algérie. Il ne faut pas craindre les mots : la pollution est plus structurelle peut-on dire. L?Algérie est mal et a mal à son environnement de mal gouvernée. Deux faits d?actualité font tilt de cela. En moins d?une semaine le second en chef des généraux décideurs de la sécurité militaire est décédé de crise cardiaque ; de l?autre le leader Hocine Aït Ahmed, a daigné à 82 ans, faire visite brève à son à son parti FFS en congrès, disparu des chiffres de petit ou grand parti telle qu?établie par le ministre de l?Intérieur Zerhouni. Interrompant ainsi de quelques jours une inconnue, et infinie villégiature en Suisse ; après une vraie et belle épopée de résistance pour l?indépendance de l?Algérie. Alors que son village d?origine, proche du massif du Djurdjura, se grandirait peut-être de l?avoir parmi les siens. Les citoyens algériens n?ont pas réellement reçu des deux personnages de documents fiables à travailler. L?Algérie est si orpheline que dans ce tableau noir qui ronge l?écologie politique de ce qui nous tient lieu de rentrée sociale on peut douter que les citoyens puissent comprendre quoi que ce soit des miasmes honteux et invectives post mortem de l?intégriste Ali Benhadj contre le général. Franchement, et revenons terre à terre, comment aujourd?hui faire la leçon algérienne d?écologie au Canada ? Qui en a pourtant bien besoin. Vénérable défenseur des espaces verts ce pays a arraché, en plus du monument Riadh El Feth d?Alger le gros marché actuel du transfert des eaux de Taksebt/Djurdjura vers la région et Alger. Il vient, pour permettre l?expansion de ses entreprises, de refuser de souscrire aux accords de Kyoto à la suite de la Chine et des USA. Ces pays-là dominent le monde parce qu?aussi ils ne se bâtissent pas sur un général mort de crise cardiaque, un vénérable exilé, ou un agité intégriste oublié par les tablettes de la terroriste El Quaïda.
Posté Le : 06/09/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Belkacem Mostefaoui
Source : www.elwatan.com