La question des services publics s’est imposé comme une nécessité pour les Etats afin de sécuriser les citoyens concernés et de répondre favorablement à leurs doléances et attentes, qui deviennent, au fil du temps, plus exigeantes, diversifiées et en constante croissance, tout cela dans un souci de ne pas perdre cette confiance tant souhaitée et envisagée par les pouvoirs en place pour des fins électorales et politiques.
Cela est valable pour tous les Etats qui aspirent à un développement économique plus harmonieux et convaincant, étant assuré que toute stratégie de croissance et évolution transite, désormais et dorénavant, par une satisfaction des besoins de la population, et cela passe par la fourniture et l’accès à ceux-ci, sans trop de heurts, coûts et entraves, pour la bonne conduite des stratégies.
Il demeure que les Etats qui vivent une situation de transition, à l’exemple de l’Algérie, sont plus confrontés à cette problématique de fourniture de ses services, partant du fait que leur population est devenue plus exigeante et revendicative en termes de la qualité et pertinence que ces Etats doivent fournir et proposer, ce qui se répercute sur le budget et parfois de l’équilibre financier et budgétaire.
Dans ce sens, notre papier tentera de mettre l’accent sur le comportement de ces Etats pour pouvoir exaucer les attentes des citoyens et en même temps de faire attention aux dépenses et coûts que cela peut engendrer pour le trésor publique.
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Posté Le : 25/04/2023
Posté par : einstein
Ecrit par : - Baghdad Chaib - Khouani Leila
Source : REVUE ALGERIENNE DE FINANCES PUBLIQUES Volume 3, Numéro 1, Pages 236-258 2013-12-20