Le président de la République, AbdelmadjidTebboune, a indiqué, il y a quelque temps, que le déroulement de cette élection dépend de la situation sanitaire relative à la pandémie du coronavirus.Le président de la République, AbdelmadjidTebboune, a indiqué, il y a quelque temps, que le déroulement de cette élection dépend de la situation sanitaire relative à la pandémie du coronavirus.
En termes plus clairs, si à la date fixée la situation n'est pas bonne et donc les Algériens encourent un grand risque il est très fort probable que les élections soient reportées. Mais entre-temps, avec la convocation du corps électoral pour le 27 novembre, le compte à rebours a déjà commencé. Désormais les partis politiques et les indépendants savent à quoi s'en tenir et devraient se lancer dès à présent dans les préparatifs pour cet événement politique majeur. Selon certains analystes quelques partis n'ont pas attendu la fixation de la date puisqu'ils ont entamé les préparatifs juste après le déroulement des élections législatives du 12 juin dernier dans le but d'être fin prêts le moment venu. Si La participation de certains partis est plus qu'évidente, il en est autrement pour d'autres. En effet, les partis qui soutiennent le programme du président de la République ne vont certainement pas manquer ce rendezvous.
Des partis comme le FLN, le RND, le front El Moustakbal, pour ne citer que ceux-là, ont d'ailleurs ouvertement déclaré leur ferme intention de participer à ces élections. Cela n'est peut-être pas encore le cas pour les formations politiques quis'opposent à la feuille de route du pouvoir. Les partis de l'opposition n'ont pas encore révélé leurs intentions. Des partis comme le Front des forces socialistes (FFS), le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ou encore le Parti des travailleurs (PT) n'ont rien laissé transparaître dans ce sens. Vont ils participer oui ou non au rendez-vous du 27 novembre ' En l'absence de positions officielles et tranchées les observateurs ne peuvent que faire dans les conjectures. Ces derniers partis politiques et bien d'autres encore, à l'exemple de l' UCP que préside l'avocate Zoubida Assoul, ont, pour rappel, boycotté les élections législatives du 12 juin. Ces partis politiques sont totalement opposés à la feuille de route du pouvoir. Ainsi, et dès le début du processus de sortie de crise initié par le pouvoir, ils ont rejeté l'élection présidentielle du 12 décembre 2019. Ils ont poursuivi dans la même attitude en rejetant aussi le référendum sur la révision de la Constitution du 1er novembre 2020. Cette attitude s'est aussi illustrée lors des élections législatives le 12 juin dernier puisque ces partis ont opté, qui pour le boycott qui pour la non-participation. Mais qu'en sera-t-il pour les élections locales du 27 novembre ' Ces partis vontils poursuivre dans la même voie ou changer leur fusil d'épaule en prenant art à cette joute électorale '
En termes plus clairs, si à la date fixée la situation n'est pas bonne et donc les Algériens encourent un grand risque il est très fort probable que les élections soient reportées. Mais entre-temps, avec la convocation du corps électoral pour le 27 novembre, le compte à rebours a déjà commencé. Désormais les partis politiques et les indépendants savent à quoi s'en tenir et devraient se lancer dès à présent dans les préparatifs pour cet événement politique majeur. Selon certains analystes quelques partis n'ont pas attendu la fixation de la date puisqu'ils ont entamé les préparatifs juste après le déroulement des élections législatives du 12 juin dernier dans le but d'être fin prêts le moment venu. Si La participation de certains partis est plus qu'évidente, il en est autrement pour d'autres. En effet, les partis qui soutiennent le programme du président de la République ne vont certainement pas manquer ce rendezvous.
Des partis comme le FLN, le RND, le front El Moustakbal, pour ne citer que ceux-là, ont d'ailleurs ouvertement déclaré leur ferme intention de participer à ces élections. Cela n'est peut-être pas encore le cas pour les formations politiques quis'opposent à la feuille de route du pouvoir. Les partis de l'opposition n'ont pas encore révélé leurs intentions. Des partis comme le Front des forces socialistes (FFS), le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ou encore le Parti des travailleurs (PT) n'ont rien laissé transparaître dans ce sens. Vont ils participer oui ou non au rendez-vous du 27 novembre ' En l'absence de positions officielles et tranchées les observateurs ne peuvent que faire dans les conjectures. Ces derniers partis politiques et bien d'autres encore, à l'exemple de l' UCP que préside l'avocate Zoubida Assoul, ont, pour rappel, boycotté les élections législatives du 12 juin. Ces partis politiques sont totalement opposés à la feuille de route du pouvoir. Ainsi, et dès le début du processus de sortie de crise initié par le pouvoir, ils ont rejeté l'élection présidentielle du 12 décembre 2019. Ils ont poursuivi dans la même attitude en rejetant aussi le référendum sur la révision de la Constitution du 1er novembre 2020. Cette attitude s'est aussi illustrée lors des élections législatives le 12 juin dernier puisque ces partis ont opté, qui pour le boycott qui pour la non-participation. Mais qu'en sera-t-il pour les élections locales du 27 novembre ' Ces partis vontils poursuivre dans la même voie ou changer leur fusil d'épaule en prenant art à cette joute électorale '
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Posté Le : 01/09/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com