Après quatre mois d'attente, le nouveau gouvernement a été installé avec peu de changements au niveau des portefeuilles économiques, à quelques exceptions près comme l'arrivée à la tête du département de l'Industrie, de la PME et de l'Investissement de l'ex-ministre de l'Environnement, Cherif Rahmani.
Pourtant, ce gouvernement n'a pas été épargné par la critique, notamment pour son traitement approximatif des questions économiques. «Sans remettre en cause les compétences des uns et des autres, on avait l'impression que le gouvernement sortant ne maîtrisait pas tous les paramètres. Il y a des lobbies, des oligopoles et des centres de pouvoir qui font que certaines décisions lui échappaient», affirme Camil Sari, économiste. C'est donc «mieux quand un gouvernement n'a pas réussi la diversification et la relance de l'industrie, d'injecter du sang neuf et l'Algérie dispose de beaucoup de talents que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur du pays».
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Posté Le : 10/09/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : El Watan
Source : www.elwatan.com