QUEL DEVELOPPEMENT POUR LES COMMUNES ET POUR QUELLE RENTREE SOCIALE'

Malgré l'acquisition des APC algériennes d'une grande autonomie en matière de décentralisation et de décisions dans l'exécution des réalisations des projets de développements communaux dans le domaine de l'urbanisme à savoir : restauration des espaces verts etc.., il est regrettable de constater que ces dits projets trainent encore et ne sont pas prêts d'être livrés pour demain, à l'exemple du Jardin Emir Abdelkader à Mostaganem dont les travaux qui ont débuté voilà plus d'une année sont gelés comme l'horloge de la mairie qui s'est figée à 8 heures et qui n'a pas trouvé réparateur. A l'instar de certaines communes du pays, on a l'impression que le temps s'est arrêté à Mostaganem pour ne plus redémarrer. Alors qu'en est-il des autres projets et contraintes dans les domaines sanitaires et sociaux, en ce qui concerne l'enseignement, la culture, le sport les loisirs ...etc, pour ne citer que ceux-là, Alors qu'en est-il des autres problèmes évoqués quotidiennement par les citoyens et qui citent certaines activités communales qui ne semblent pas à l'ordre du jour, et qui sont d'ordre de maintenance, de propreté de l'environnement. Sans oublier la protection de l'ordre public par le biais des maires, et aussi la protection du consommateur en matière d'hygiène de la nourriture et de la propreté des villes. N'est-il pas stipulé dans le plan communal que le maire est le principal garant de la santé des citoyens. A cet effet, comment peut-on évaluer les compétences de certaines municipalités du territoire national' Beaucoup de questions restent sans réponses pour une population qui semble immunisée contre toutes ces contraintes qui retardent le développement et freinent d'autres éventuels projets qui pourront libérer nos villes prisonnières de leurs léthargies