Algérie

Que font les syndicats qui parlaient de grande attaque après l'élection'



Que font les syndicats qui parlaient de grande attaque après l'élection'
Des syndicats avaient annoncé une attaque sans précédent après le 17 avril. En campagne pour le compte du candidat Bouteflika, le gouvernement a mis en attente toutes les revendications des travailleurs.Plus de réunions, plus de négociations, ni de décisions appliquées jusqu'à mai. Lyès Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) s'était exprimé dans les médias pour dénoncer l'absence de l'Etat. «Notre mode de fonctionnement n'a jamais été lié au 17 avril. Pendant la présidentielle, on était dans une démarche de dialogue, on a manifesté pour avoir un dialogue constructif avec les pouvoirs publics». Il ajoute : «Nous avons toujours des revendications. Lorsqu'il le faut, nous avons une démarche collective. Nous restons à l'écoute des autres syndicats pour mener des actions conjointes. D'ailleurs, ce samedi 11 avril, il y aura un Conseil national extraordinaire des praticiens dans lequel nous discuterons plusieurs points.» D'autre part, Hachemi Mecheri, membre du bureau du Syndicat national des professionnels d'enseignement paramédical, estime qu'après le 17 avril ils n'ont pas pu concrétiser «certaines revendications, comme la prime de contagion qui est commune à tous les professionnels de la santé qui sont en contact avec des malades. Pour le moment, nous n'envisageons pas de mouvement, même si on sait que quand il y a accalmie on nous oublie.»




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