Algérie

Que decidera le FFS '



Comme attendu par l'ensemble des obsertvateurs, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), ne particiopera pas aux prochaines elections legislatives anticipées prévues le 12 juin prochain .Comme attendu par l'ensemble des obsertvateurs, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), ne particiopera pas aux prochaines elections legislatives anticipées prévues le 12 juin prochain .
Ce qui était une forte hypothése est desoramis une réalité. Depuis avanthier samedi ,ce parti a officialisé son boycott de ce scrutin. C'est sa plus haute instance entre deux congrés, le Conseil national en l'occurrence, reuni en session ordinaire, qui a decidé de cette option à l'unanimité de ses membres. "A la lumière des travaux de cette session, le Conseil national décide (...) du rejet de l'élection législative convoquée pour le 12 juin 2021, à l'unanimité des membres présents. Le Conseil national qui a fait siennes les conclusions des Conseils régionaux, considère que la place du RCD est aux cotés du peuple mobilisé pour le changement du système et l'avènement de l'alternative démocratique, et non dans le camp de ceux qui répriment, sèment la peur et la promotion des extrêmes pou asseoir, une fois de plus, le chantage du pire", note la résolution du Conseil national rendu public hier dimanche, pour justifier la non participation au rendez-vous electoral du 12 juin.
Le RCD rejoint en cela l'autre parti, le Parti des travaileurs en l'occurrence (PT), qui a lui aussi annoncé il y'a quelques jours, son boycott des legislatives. Ces deux partis partagent presque les mêmes positions, comme l'atteste leur adhésion au Pacte de l'alternative democratique (PAD). Le PT, par la voix de sa Secretaire generale, Louisa Hanoune, a déclaré que "les législatives sont un rendez-vous pour mettre fin au pluralisme partisan, et ses résultats sont connus à l'avance". Le PT a estimé, que "ces élections s'inscrivent dans la voie électorale quis'est imposée au peuple après la démission de l'ancien président, et ces élections ne régleront pas les souffrances de lamajorité du peuple et ne sont pas une revendication populaire". Maintenant que ces deux partis ont officialisé leur non participation, tous les regards des observat eurs sont desormais braqués sur le Front des forces socialistes (FFS). Quelle sera sa position ' Le FFS va-t-il, oui ou non, prebndre part aux elections ' Des questions qui n'ont pas de réponse pour le moment, puisque ce parti n'a pas encore pris de decision et laisse planer le doute et le suspense.
Un tel attentisme est somme toute prévisible eu égard aux tirailements que connait ce parti, car le prochain scrutin est source de division. La base militante, en tout cas semble majoritairement rejeté l'option de laparticipation alors que la direction , du moinds une partie d'entre elle, pencherait plutot pour la position contraire. Entre les deux parties, c'est la méfiance et l'incompréhsension. Preuve en est, la base militante n'a pas du tout accepté qu'une delegation du FFS aille s'entretenir avec le president Abdelmadjid Tebboune, au siège de la presidence de la République dans le cadre des consul aions politiques engagées par ce dernier. Face au tollé general provoqué par cette rencontre au sein de la base militante et une partie des cadres la direction a convoqué, le 6 mars dernier, une sesssion extraorfdinaire du Conseil national, au cours de laquelle les debats etaient très houleux. C'est dire que la direction du FFS, qui doit bientot se pro ocer, est franchement face à un grand dilemme.
Ce qui était une forte hypothése est desoramis une réalité. Depuis avanthier samedi ,ce parti a officialisé son boycott de ce scrutin. C'est sa plus haute instance entre deux congrés, le Conseil national en l'occurrence, reuni en session ordinaire, qui a decidé de cette option à l'unanimité de ses membres. "A la lumière des travaux de cette session, le Conseil national décide (...) du rejet de l'élection législative convoquée pour le 12 juin 2021, à l'unanimité des membres présents. Le Conseil national qui a fait siennes les conclusions des Conseils régionaux, considère que la place du RCD est aux cotés du peuple mobilisé pour le changement du système et l'avènement de l'alternative démocratique, et non dans le camp de ceux qui répriment, sèment la peur et la promotion des extrêmes pou asseoir, une fois de plus, le chantage du pire", note la résolution du Conseil national rendu public hier dimanche, pour justifier la non participation au rendez-vous electoral du 12 juin.
Le RCD rejoint en cela l'autre parti, le Parti des travaileurs en l'occurrence (PT), qui a lui aussi annoncé il y'a quelques jours, son boycott des legislatives. Ces deux partis partagent presque les mêmes positions, comme l'atteste leur adhésion au Pacte de l'alternative democratique (PAD). Le PT, par la voix de sa Secretaire generale, Louisa Hanoune, a déclaré que "les législatives sont un rendez-vous pour mettre fin au pluralisme partisan, et ses résultats sont connus à l'avance". Le PT a estimé, que "ces élections s'inscrivent dans la voie électorale quis'est imposée au peuple après la démission de l'ancien président, et ces élections ne régleront pas les souffrances de lamajorité du peuple et ne sont pas une revendication populaire". Maintenant que ces deux partis ont officialisé leur non participation, tous les regards des observat eurs sont desormais braqués sur le Front des forces socialistes (FFS). Quelle sera sa position ' Le FFS va-t-il, oui ou non, prebndre part aux elections ' Des questions qui n'ont pas de réponse pour le moment, puisque ce parti n'a pas encore pris de decision et laisse planer le doute et le suspense.
Un tel attentisme est somme toute prévisible eu égard aux tirailements que connait ce parti, car le prochain scrutin est source de division. La base militante, en tout cas semble majoritairement rejeté l'option de laparticipation alors que la direction , du moinds une partie d'entre elle, pencherait plutot pour la position contraire. Entre les deux parties, c'est la méfiance et l'incompréhsension. Preuve en est, la base militante n'a pas du tout accepté qu'une delegation du FFS aille s'entretenir avec le president Abdelmadjid Tebboune, au siège de la presidence de la République dans le cadre des consul aions politiques engagées par ce dernier. Face au tollé general provoqué par cette rencontre au sein de la base militante et une partie des cadres la direction a convoqué, le 6 mars dernier, une sesssion extraorfdinaire du Conseil national, au cours de laquelle les debats etaient très houleux. C'est dire que la direction du FFS, qui doit bientot se pro ocer, est franchement face à un grand dilemme.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)