Algérie

Que décidera Bouteflika '



Maintenant que le corps électoral est convoqué pour le 18 avril prochain, les choses sérieuses vont commencer pour l'élection présidentielle.Maintenant que le corps électoral est convoqué pour le 18 avril prochain, les choses sérieuses vont commencer pour l'élection présidentielle.
Les partisans du président Bouteflika n'ont pas attendu longtemps pourrelancer avec force leurs appels pourun 5e mandat. En effet, aussitôt la convocationdu corps électoral annoncée, les partis de l'alliance présidentielle sont vitemontés au créneau à cette fin. C'est notamment le cas du RND et du parti de TAJ, en attendant à ce que le FLN et leMPA en fassent de même. Le RND aréuni dans l'après midi d'avant-hier sonbureau national, soit quelques heures seukeentaprès la désignation de la date de la tenue de l'élection présidentielle.
Lebureau national a accueilli ainsi favorablement,la convocation du corps électoralet a, dans la foulée, réitéré son appelau moudjahid Bouteflika pour briguer un5e mandat. Une invitation qui sera, sansaucun doute, appuyée par le Conseilnational de ce parti qui tiendra sa sixièmesession le 31 janvier et le 1er février. Lemême jour, le parti de TAJ, que dirigeAmar Ghoul, emboite le pas au parti deAhmed Ouyahia. TAJ appelle en effet leprésident Bouteflika, à "continuer à dirigerle pays en se portant candidat pourl'élection présidentielle". Dans le brefcommuniqué redu public à cet effet, ilréaffirme son soutien et sa fidélité auprésident Bouteflika. Dimanche c'était autour du parti du FLN d'en faire de même.
Le vieux parti se réjouit de la convocationdu corps électoral laquelle, d'après le communiqué rendu public, "met définitivement fin à la polémique" relative à la tenue ou non de l'élection présidentielle, conformément aux délais requis par la loi. Le FLN invite donc le président Bouteflika, qui est faut il encore le rappeler le president du parti, à "continuer à diriger" le pays et "exercer ses hautes fonctions" pour une Algérie "unie, souveraine, réconciliée et prospère". Maintenant on attend à ce que l'autreparti de l'alliance présidentielle, le MPAen l'occurrence rejoigne les trois partis en appelant lui aussi le presidentBouteflika, à succéder à lui-même.
Le MPA de Amara Benyounes, contrairement aux partis du FLN, du RND et de TAJ, s'est toujours distingué sur cette épineuse question. En effet, il est le seul parti à n'avoir jamais appelé le président Bouteflika à briguer un 5e mandat. Son président, Amara Benyounes, qui a toujours apporté un soutien sans faille au chef de l'Etat, a expliqué cela par le fait qu'il attend d'abord que Bouteflika exprime sa volonté de continuer à diriger le pays. Ces appels seront certainement suivis par d'autres partis politiques de moindre envergure, ainsi que par des organisations et associations de la sociéténcivile à l'exemple, notamment, de l'UGTA et du FCE.
Il en sera de mémepour les organisations de la "famillerévolutionnaire" qui vont, elles aussi, ce concert d'appels. Des appels qui vont peut être peser dans la balance, alors que le président Bouteflika s'est gardé jusqu'à présent de donner le moindre signe sur sa volonté et ce, même si pour de nombreux analystes il ne fait plus aucun doute que l'actuel locataire dela présidence sera bel et bien au rendezvous du 18 avril prochain.
Les partisans du président Bouteflika n'ont pas attendu longtemps pourrelancer avec force leurs appels pourun 5e mandat. En effet, aussitôt la convocationdu corps électoral annoncée, les partis de l'alliance présidentielle sont vitemontés au créneau à cette fin. C'est notamment le cas du RND et du parti de TAJ, en attendant à ce que le FLN et leMPA en fassent de même. Le RND aréuni dans l'après midi d'avant-hier sonbureau national, soit quelques heures seukeentaprès la désignation de la date de la tenue de l'élection présidentielle.
Lebureau national a accueilli ainsi favorablement,la convocation du corps électoralet a, dans la foulée, réitéré son appelau moudjahid Bouteflika pour briguer un5e mandat. Une invitation qui sera, sansaucun doute, appuyée par le Conseilnational de ce parti qui tiendra sa sixièmesession le 31 janvier et le 1er février. Lemême jour, le parti de TAJ, que dirigeAmar Ghoul, emboite le pas au parti deAhmed Ouyahia. TAJ appelle en effet leprésident Bouteflika, à "continuer à dirigerle pays en se portant candidat pourl'élection présidentielle". Dans le brefcommuniqué redu public à cet effet, ilréaffirme son soutien et sa fidélité auprésident Bouteflika. Dimanche c'était autour du parti du FLN d'en faire de même.
Le vieux parti se réjouit de la convocationdu corps électoral laquelle, d'après le communiqué rendu public, "met définitivement fin à la polémique" relative à la tenue ou non de l'élection présidentielle, conformément aux délais requis par la loi. Le FLN invite donc le président Bouteflika, qui est faut il encore le rappeler le president du parti, à "continuer à diriger" le pays et "exercer ses hautes fonctions" pour une Algérie "unie, souveraine, réconciliée et prospère". Maintenant on attend à ce que l'autreparti de l'alliance présidentielle, le MPAen l'occurrence rejoigne les trois partis en appelant lui aussi le presidentBouteflika, à succéder à lui-même.
Le MPA de Amara Benyounes, contrairement aux partis du FLN, du RND et de TAJ, s'est toujours distingué sur cette épineuse question. En effet, il est le seul parti à n'avoir jamais appelé le président Bouteflika à briguer un 5e mandat. Son président, Amara Benyounes, qui a toujours apporté un soutien sans faille au chef de l'Etat, a expliqué cela par le fait qu'il attend d'abord que Bouteflika exprime sa volonté de continuer à diriger le pays. Ces appels seront certainement suivis par d'autres partis politiques de moindre envergure, ainsi que par des organisations et associations de la sociéténcivile à l'exemple, notamment, de l'UGTA et du FCE.
Il en sera de mémepour les organisations de la "famillerévolutionnaire" qui vont, elles aussi, ce concert d'appels. Des appels qui vont peut être peser dans la balance, alors que le président Bouteflika s'est gardé jusqu'à présent de donner le moindre signe sur sa volonté et ce, même si pour de nombreux analystes il ne fait plus aucun doute que l'actuel locataire dela présidence sera bel et bien au rendezvous du 18 avril prochain.


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