Algérie

Quand le mépris devient une règle de conduite Clinique Ibn Rochd



Quand le mépris devient une règle de conduite                                    Clinique Ibn Rochd
En se présentant, mardi dernier, pour une consultation à la clinique privée de gynécologie et des sciences de la reproduction Ibn Rochd, située à la cité Boussouf, une patiente ne se doutait guère qu'elle allait connaître l'une des pires situations de sa vie.
«Suite à un rendez-vous qui m'a été délivré par la réception de la clinique, à la fin du mois d'août dernier, je me suis présentée le jour J, et quelle fut ma surprise d'apprendre que je n'étais pas inscrite sur la liste, alors qu'une autre patiente a pris ma place», s'indigne M.M. qui s'est présentée à notre bureau pour dénoncer le fait.
Notre interlocutrice affirme ne pas comprendre la légèreté avec laquelle on lui a répondu face à son étonnement, alors qu'elle a été déjà auscultée par le même médecin, qui lui avait fixé lui-même un rendez-vous, avant de décider sur l'issue de son cas. «A cause d'une erreur dans l'inscription des noms, je me retrouve à la case départ, alors que mon état de santé risque de se dégrader jusqu'au prochain rendez-vous, car avec le nombre important de patientes, on me signifie qu'il faudra attendre jusqu'au mois de janvier de l'année prochaine, est-ce vraiment logique'» s'interroge la patiente qui a beau protester, mais en vain. Pourtant, les cliniques privées nous ont habitués à plus de rigueur et de respect dans leurs rapports avec leurs patients. Sauf que ces dernières années, les choses ont beaucoup changé et le mépris est devenu la règle, pour le grand malheur des pauvres malades.


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