Azul Felawen,
Quand l’argent devient l’opium d’un peuple il opprime le devoir,
L’avenir est sombre, la patrie tombe, circulez y a rien à voir.
le pays s'affole en tuant ses idoles, la foi a du mal à croire,
La raison se cherche et la morale perd ses bagages,
La conscience s’affole et prend la pensé comme otage,
Le cœur se remplit de haine et l’ignorance dicte son langage.
Le père et le fils devant la justice, chacun d’eux revendique sa place et son langage,
Rien ne va le meilleur s’en va, seule la mère souffre le cœur enfermé dans une cage,
Reste la plume de souffrance, avec le sangs elle écrit les mémoire sur une page.
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Posté Le : 02/03/2018
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : mokrane ait lounes
Source : Quand l’argent devient l’opium d’un peuple