Algérie

Qu'en est-il de la police des eaux '



L'eau est la ressource la plus précieuse. Malheureusement nous avons tendance à la gaspiller.L'eau est la ressource la plus précieuse. Malheureusement nous avons tendance à la gaspiller.
Le réchauffement climatique impacte les eaux de la Terre. Leur qualité et leur quantité sont en danger. Cette situation inquiète aujourd'hui en Algérie. Pour cela, les pouvoirs publics sont appelés à recourir à une stratégie de rationalisation afin de répondre aux besoins des citoyens en matière de disponibilité d'eau potable, industrielle et agricole surtout en cette période estivale qui est déjà là, dont la demande ne cesse d'augmenter. Sachant que le niveau des barrages qui participent à la production d'eau potable enregistre actuellement un taux de remplissage insuffisant. Les eaux de dessalement et des nappes souterraines offrent une alternative pour répondre à la demande, mais le facteur humain semble insouciant voire inconscient quant à la valeur de cette précieuse denrée. Tout semble l'indiquer en tout cas, car nombre de citoyens continuent à gaspiller cette matière vitale en l'exploitant dans le bâtiment, l'industrie, le lavage de voitures, le remplissage répétitif des piscines... et la liste est encore longue.
La situation impose donc de veiller à préserver ce produit vital. Dans ce cas-la, qu'en est-il des nouvelles mesures en matière de gestion de l'eau dont la mise en place de la fameuse police d'eau annoncées, en avril dernier par le ministre des Ressources en eau, Mustapha Kamel Mihoubi. l s'agit, selon le même responsable, rappelons-le, de mesures qui interviendront dans le sillage d'une politique mise en place pour circonscrire l'effet du stress hydrique dû à une pluviométrie avare ces dernières années et lutter contre le gaspillage de cette ressource qui ne cesse de se raréfier. Outre, l'inévitable campagne de sensibilisation au niveau de plusieurs secteurs autour de cette charte, le ministre des Ressources en eau avait expliqué qu'il faudra bien passer ensuite à la répression par le biais d'une police de l'eau, qui malheureusement tarde à venir.
Le réchauffement climatique impacte les eaux de la Terre. Leur qualité et leur quantité sont en danger. Cette situation inquiète aujourd'hui en Algérie. Pour cela, les pouvoirs publics sont appelés à recourir à une stratégie de rationalisation afin de répondre aux besoins des citoyens en matière de disponibilité d'eau potable, industrielle et agricole surtout en cette période estivale qui est déjà là, dont la demande ne cesse d'augmenter. Sachant que le niveau des barrages qui participent à la production d'eau potable enregistre actuellement un taux de remplissage insuffisant. Les eaux de dessalement et des nappes souterraines offrent une alternative pour répondre à la demande, mais le facteur humain semble insouciant voire inconscient quant à la valeur de cette précieuse denrée. Tout semble l'indiquer en tout cas, car nombre de citoyens continuent à gaspiller cette matière vitale en l'exploitant dans le bâtiment, l'industrie, le lavage de voitures, le remplissage répétitif des piscines... et la liste est encore longue.
La situation impose donc de veiller à préserver ce produit vital. Dans ce cas-la, qu'en est-il des nouvelles mesures en matière de gestion de l'eau dont la mise en place de la fameuse police d'eau annoncées, en avril dernier par le ministre des Ressources en eau, Mustapha Kamel Mihoubi. l s'agit, selon le même responsable, rappelons-le, de mesures qui interviendront dans le sillage d'une politique mise en place pour circonscrire l'effet du stress hydrique dû à une pluviométrie avare ces dernières années et lutter contre le gaspillage de cette ressource qui ne cesse de se raréfier. Outre, l'inévitable campagne de sensibilisation au niveau de plusieurs secteurs autour de cette charte, le ministre des Ressources en eau avait expliqué qu'il faudra bien passer ensuite à la répression par le biais d'une police de l'eau, qui malheureusement tarde à venir.


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