PSG : Ibrahimovic : «Je ne serais pas venu si je ne croyais pas que le PSG pouvait remporter la Ligue des champions»

l'attaquant suédois du Paris-SG confie son énorme ambition et sa satisfaction d'avoir rejoint un club qui peut viser la victoire en C1.
Quand Zlatan Ibrahimovic s'exprime, ce n'est jamais pour dire des banalités. Dans le magazine de la Ligue des champions édité par l'UEFA, l'attaquant suédois du Paris-SG confie son énorme ambition et sa satisfaction d'avoir rejoint un club qui peut viser la victoire en C1. «Le projet qui est en cours pour le PSG, c'est de réaliser le rêve du club, explique-t-il. Je veux faire partie de ce projet parce que pour moi, le futur, c'est ici. Ils sont en train d'engager les meilleurs joueurs pour les faire jouer ensemble, et ils veulent créer une grande équipe. Chaque grande ville a besoin d'une équipe de football. La ville est déjà là et maintenant l'équipe doit rattraper son retard ; le club doit s'efforcer d'être au même niveau que la ville. C'est à nous maintenant de gagner.» La Ligue des champions, une compétition que l'ancien attaquant de l'Inter, du Barça ou de l'AC Milan n'a jamais remportée. Ce qui ne constitue pas une fatalité. «Je ne serais pas venu ici si je ne croyais pas que le PSG pouvait remporter la Ligue des champions, confie "Ibra". C'est vrai que je n'ai jamais gagné la Champions League, mais je ne suis pas désespéré ! Pour gagner des trophées, il faut de grands joueurs. J'en ai remportés parce que j'ai évolué dans des équipes avec des grands joueurs. Vous ne gagnerez jamais de grands trophées seul, c'est sûr. Je veux dire aux supporters : croyez en cette équipe. Nous avons des joueurs et un coach fantastiques. Ça fait un certain temps que vous voulez des titres. Notre temps est venu. C'est maintenant.» Un coach, Carlo Ancelotti, qu'il avait failli rejoindre en 2006. «C'est le destin. On était proche en 2006 et il aurait pu se passer quelque chose en 2010, révèle le Suédois. On était loin, mais ça a failli... Maintenant, on travaille enfin ensemble. Je lui ai parlé avant de venir et il m'a convaincu ; il m'a dit que c'était une opportunité fantastique. Tout ce qu'il m'a promis est vrai.»