Promouvoir la culture du continent noir Création d'un festival de cinémas d'afrique et des pays du sud

L'axe du festival en janvier 2012 sera «Frontières» avec des sections parallèles telles que Cinéma et Politique (les droits de l'Homme et démocratie, dictature, exil et immigration), le Cinéma, Biodiversité et Environnement (l'eau et ses enjeux, le développement durable, la sauvegarde de la flore et de la faune) et Cinéma et Histoire. Cette dernière section sera programmée par Eric Deroo, chercheur au CNRS et cinéaste, par Sandrine Lemaire, professeur d'Histoire et chercheur au CNRS. Puis il y aura également Cinéma et Musique.
L'axe du festival en janvier 2012 sera «Frontières» avec des sections parallèles telles que Cinéma et Politique (les droits de l'Homme et démocratie, dictature, exil et immigration), le Cinéma, Biodiversité et Environnement (l'eau et ses enjeux, le développement durable, la sauvegarde de la flore et de la faune) et Cinéma et Histoire. Cette dernière section sera programmée par Eric Deroo, chercheur au CNRS et cinéaste, par Sandrine Lemaire, professeur d'Histoire et chercheur au CNRS. Puis il y aura également Cinéma et Musique.
L'association "Regards sur les Cinémas d'Afrique et du Sud" a été créée en 1993 avec pour finalité la promotion de la culture des pays d'Afrique, Caraïbes et Pacifique à travers diverses activités (forums littéraires, expositions, conférences...).
Cette association est née de la passion d'un homme originaire d'Afrique de l'Ouest, Camille Jouhair, ancien chef d'escale pour la compagnie aérienne régionale Airlines qui décide en 1995 de se consacrer exclusivement au cinéma d'Afrique et du Sud, peu connu en France. A partir de 1995, Camille Jouhair crée un festival qui se déroule chaque année au mois de janvier, festival favorisant la diffusion de courts et longs métrages et de documentaires provenant de l'Hémisphère Sud dans les salles de cinéma et devient, à ce titre, l'occasion d'une émulation culturelle et artistique et d'une meilleure connaissance des pays du Sud.
Comme le suggère le nom de l'association, il s'agit de porter un autre regard sur ces pays par le biais du 7e Art et, notamment, sur le continent africain qui n'est pas sans posséder un patrimoine culturel et artistique qui lui est propre et que l'on se doit de défendre.
Ce festival donne ainsi l'occasion au grand public des régions Haute-Normandie et Basse-Normandie de découvrir des films qui sont trop rarement projetés en France de même qu'il contribue à la valorisation des créations de réalisateurs africains en France auprès d'un public non averti du fait de la fermeture des portes des cinémas européens.
D'année en année, le festival a un impact de plus en plus fort sur un public chaque fois plus nombreux.
L'association "Regards sur les Cinémas d'Afrique et du Sud" a été créée en 1993 avec pour finalité la promotion de la culture des pays d'Afrique, Caraïbes et Pacifique à travers diverses activités (forums littéraires, expositions, conférences...).
Cette association est née de la passion d'un homme originaire d'Afrique de l'Ouest, Camille Jouhair, ancien chef d'escale pour la compagnie aérienne régionale Airlines qui décide en 1995 de se consacrer exclusivement au cinéma d'Afrique et du Sud, peu connu en France. A partir de 1995, Camille Jouhair crée un festival qui se déroule chaque année au mois de janvier, festival favorisant la diffusion de courts et longs métrages et de documentaires provenant de l'Hémisphère Sud dans les salles de cinéma et devient, à ce titre, l'occasion d'une émulation culturelle et artistique et d'une meilleure connaissance des pays du Sud.
Comme le suggère le nom de l'association, il s'agit de porter un autre regard sur ces pays par le biais du 7e Art et, notamment, sur le continent africain qui n'est pas sans posséder un patrimoine culturel et artistique qui lui est propre et que l'on se doit de défendre.
Ce festival donne ainsi l'occasion au grand public des régions Haute-Normandie et Basse-Normandie de découvrir des films qui sont trop rarement projetés en France de même qu'il contribue à la valorisation des créations de réalisateurs africains en France auprès d'un public non averti du fait de la fermeture des portes des cinémas européens.
D'année en année, le festival a un impact de plus en plus fort sur un public chaque fois plus nombreux.