Algérie

Projet d'amendement de la Constitution



Projet d'amendement de la Constitution
Le parti d'Amar Ghoul réitère sa proposition de tenir "une conférence nationale d'unification" autour du projet d'amendement de la Constitution. Dans un communiqué rédigé à l'issue d'une session ordinaire de son bureau politique, le Taj renouvelle son appel "à la tenue d'une conférence nationale d'unification, à laquelle participeraient tous les partenaires, sans exception aucune, dans le but d'élargir le débat, la consultation et le consensus autour de cette question fondamentale qui a trait au passé, au présent et à l'avenir de l'Algérie, et de sortir de ce débat avec des propositions unificatrices, pour aboutir à une Constitution consensuelle et prospective". Le TAJ va encore plus loin en proposant "de soumettre à un référendum populaire le projet d'amendement de la Constitution afin de consacrer la pratique démocratique attachée à la volonté populaire souveraine".Le bureau politique du TAJ revient également sur la libération des deux derniers otages algériens retenus à Gao. "Le Taj se félicite des efforts diplomatiques fournis, sous la supervision du président Bouteflika, qui ont abouti à la libération des deux derniers otages algériens retenus à Gao, convaincu du principe que le paiement des rançons aux terroristes constitue un crime." Cette libération, aux yeux du Taj, constitue une leçon pratique de la criminalisation du versement de rançons, même lorsqu'il s'agit de nos propres ressortissants. Par ailleurs, les représentants du parti s'inclinent devant la mémoire des deux diplomates disparus et assurent leurs familles de leur solidarité. Le Taj s'exprime également au sujet de la situation qui prévaut en Libye et préconise la solution du dialogue éclairé et responsable. Il appelle à "continuer la conciliation entre tous les Libyens et entre toutes les parties au conflit pour protéger le pays de l'ingérence extérieure". Le Taj salue, à ce propos, le refus de l'Algérie d'intervenir militairement sur le sol libyen en assurant que "le consensus national ne peut se faire qu'à travers des voies politiques". De même, le Taj espère voir aboutir positivement la médiation algérienne dans le dialogue intermalien. Il assure que "seule une solution pacifique peut constituer une sortie de la crise malienne et favoriser le retour de la paix et de la sécurité dans la région du Sahel".A HNomAdresse email




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