Algérie

Programme associatif algéro-français "Passerelles"



Programme associatif algéro-français
Le programme de coopération association algéro-français, baptisé "Passerelles", destiné à l'enfance et à la jeunesse, a contribué au financement de 150 projets depuis 2013, avec un montant global dépassant 3 millions d'euros, a indiqué avant-hier à Tipasa un membre du comité exécutif de ce programme, Abderrahmane Arrar.Outre les projets au profit de l'enfance et de la jeunesse, d'autres, relatifs à l'Environnement, à la Santé, à l'accompagnement des personnes handicapées, à la communication et au technologie de l'information et de la communication (TIC), ont été financé grâce à ce Programme, avec un coût de 3,33 millions d'euros, a précisé, à l'APS, M. Arrar, en marge de l'assemblée générale qui a vu la participation de 140 associations des deux pays."Les participants ont décidé de poursuivre le travail après 2015, à travers l'initiation de nouveaux projets plus efficaces et utiles pour la société algérienne", a encore indiqué M.Arrar, également président du réseau Nada pour la protection de l'enfance.Les axes principaux du programme Passerelles, entamé en 2007 et qui s'étalera jusqu'à 2015, s'articule autour de l'élargissement du réseau des associations activant dans ce cadre à travers le territoire national à l'horizon 2018, a-t-il encore indiqué, en rappelant que seules 22 wilayas sont actuellement représentées dans ce programme de coopération associative entre l'Algérie et la France.L'instauration d'une société civile active à travers des sessions de formations encadrées par des spécialistes, constitue le principal objectif de cette coopération, a-t-il souligné, à cet effet.A son lancement, "Passerelles" ne comptait qu'une quinzaine d'associations, a signalé M.Arrar, ajoutant que 200.000 personnes ont bénéficié, jusque-là, des programmes de formation initiés à cet effet, et qui sont notamment liés à la lutte contre les fléaux sociaux, comme la consommation de stupéfiants et d'autres fléaux néfastes qui portent atteinte essentiellement à l'enfance et à la jeunesse algériennes. De son côté, Jean Louis Fielajus, membre, lui aussi, du comité exécutif de Passerelles, a fait état de la même volonté de poursuivre le travail entamé, signalant que "toutes les conditions sont réunies pour le renforcement de ce travail de coopération".M.Fielajus, président également de l'association française de solidarité internationale, a ajouté que 50% du budget 2013-2015, estimé à 3,3 millions d'euros, a été alloué au volet de la formation et 21% à l'animation et à la communication sociales.




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