Algérie

Programme 100 locaux par commune à Sidi Bel-Abbès.. Plusieurs locaux demeurent inexploités



Parmi 3 496 locaux commerciaux à usage professionnel, réalisés dans le cadre du projet du président, 3172 sont distribués, mais une grande partie demeure toujours non exploitée. Rien n'empêche les responsables des communes, à leur tête les présidents des APC, de récupérer ces locaux, restés fermés depuis des années, au point où plusieurs sites sont actuellement en état de dégradation, et complètement abandonnés par les bénéficiaires qui refusent de lancer leurs activités. Les causes sont diverses, les bénéficiaires se plaignent surtout, notamment dans les communes lointaines, du choix du site qui, souvent, n'intéresse pas les jeunes qui optent pour des activités commerciales très répandues sur le marché, nécessitant une position en plein tissu urbain.Le problème qui se pose actuellement au niveau de plusieurs communes, est le fait que les bénéficiaires continuent à abandonner leurs locaux inexploités depuis des années ; pourtant, l'APC a toute l'autorité de résilier le contrat, et le confier à un autre demandeur, à l'exemple des locaux de la commune de M'cid, transformés en étables, que les éleveurs utilisent pour abriter leur bétail. Partiellement, une bonne partie des locaux réalisés dans la commune de Télagh sont occupés, et c'est le cas d'autres sites situés dans la ville de Sidi Bel-Abbès, à l'exemple des 48 locaux à Sidi Djilali, 63 locaux sur la route de Mascara, les 33 locaux implantés dans la commune de Sidi Brahim, transformés en centre commercial, mais parmi ces locaux, certains demeurent inoccupés et abandonnés, malgré que le problème des branchements aux réseaux d'électricité, gaz et AEP, qui faisaient obstacles aux bénéficiaires, a été résolu, notamment pour ceux qui se sont spécialisés dans le domaine de la menuiserie aluminium et bois, la soudure, électricité et peinture automobile et autres métiers d'artisanat.
Les autorités locales, à leur tête le wali de Sidi Bel-Abbès, et pour prendre en charge ce problème épineux, veillent à étudier les dossiers des bénéficiaires n'ayant pas lancé leurs projets, pour récupérer les locaux et obliger les locataires, par voie réglementaire, de les occuper et les exploiter, en vue d'éviter qu'ils soient transformés en lieu de débauche et de toute sorte de fléaux sociaux.


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