Production de 15.000 quintaux d'arachides escomptée EL-TARF, Direction des services agricoles

Au terme de la campagne de cueillette qui a démarré depuis quelques jours dans la wilaya d'El-Tarf, une production de près de 15.000 quintaux d'arachides est prévue, a indiqué le directeur des services agricoles, Yacine Kourd.Au terme de la campagne de cueillette qui a démarré depuis quelques jours dans la wilaya d'El-Tarf, une production de près de 15.000 quintaux d'arachides est prévue, a indiqué le directeur des services agricoles, Yacine Kourd.
Quelque peu retardée par les dernières chutes de pluie qui se sont abattues sur la région, cette campagne, qui se poursuivra un mois durant, ciblera un total de 1.710 hectares, a précisé le même responsable à l'APS, ajoutant qu'une moyenne de 9 quintaux à l'hectare en irrigué sera atteinte cette saison.
La culture de l'arachide (ou cacahuète), une plante de la famille des fabacées entrant, notamment, dans la fabrication d'une huile de table, se pratique, dans la wilaya d'El-Tarf, près des localités de Souarekh, Aïn-Laâssel et Berrihane, réputées pour leur forte concentration en eau favorisant la croissance des arachides.
La nature sablonneuse du sol dans ces régions ainsi que l'existence de nombreux points pour l'irrigation de cette culture, notamment le long du Lac Oubeïra, ont encouragé de nombreuses familles de la région d'El-Tarf à continuer à se consacrer à cette spéculation, selon la même direction. Ces derniers jours, il est loisible de contempler dans les vastes champs de la région des familles entières s'employant à cueillir les fruits, arrivés à maturité après une période de croissance de près de six mois, entre avril et septembre.
Bien que requérant une certaine dextérité, énormément de patience et surtout de la passion, la culture des arachides demeure une activité agricole que beaucoup de familles tarfinoises continuent de pratiquer avec le même élan.
Une fois cueillies, débarrassées de leurs impuretés et séchées au soleil, les cacahuètes de cette région, les ''petites calloises'', sont orientées vers la satisfaction des besoins du marché local et ceux des producteurs eux-mêmes.
Dans d'autres pays, elles sont réservées généralement à la fabrication d'huile de table, dite huile ''sans-goût'', très appréciée en cuisine, alors que l'arachide d'El-Tarf sert surtout pour l'instant, à la confection de gâteaux ainsi qu'à la consommation locale, notamment en hiver, période durant laquelle ces petits délices savoureux sont croqués à volonté en soirée, généralement autour d'une bonne tasse de thé à la menthe.
Les cacahuètes d'El-Tarf gagneraient à être valorisées par un développement des moyens d'irrigation qui permettraient "d'industrialiser" cette culture, selon les producteurs locaux.
Quelque peu retardée par les dernières chutes de pluie qui se sont abattues sur la région, cette campagne, qui se poursuivra un mois durant, ciblera un total de 1.710 hectares, a précisé le même responsable à l'APS, ajoutant qu'une moyenne de 9 quintaux à l'hectare en irrigué sera atteinte cette saison.
La culture de l'arachide (ou cacahuète), une plante de la famille des fabacées entrant, notamment, dans la fabrication d'une huile de table, se pratique, dans la wilaya d'El-Tarf, près des localités de Souarekh, Aïn-Laâssel et Berrihane, réputées pour leur forte concentration en eau favorisant la croissance des arachides.
La nature sablonneuse du sol dans ces régions ainsi que l'existence de nombreux points pour l'irrigation de cette culture, notamment le long du Lac Oubeïra, ont encouragé de nombreuses familles de la région d'El-Tarf à continuer à se consacrer à cette spéculation, selon la même direction. Ces derniers jours, il est loisible de contempler dans les vastes champs de la région des familles entières s'employant à cueillir les fruits, arrivés à maturité après une période de croissance de près de six mois, entre avril et septembre.
Bien que requérant une certaine dextérité, énormément de patience et surtout de la passion, la culture des arachides demeure une activité agricole que beaucoup de familles tarfinoises continuent de pratiquer avec le même élan.
Une fois cueillies, débarrassées de leurs impuretés et séchées au soleil, les cacahuètes de cette région, les ''petites calloises'', sont orientées vers la satisfaction des besoins du marché local et ceux des producteurs eux-mêmes.
Dans d'autres pays, elles sont réservées généralement à la fabrication d'huile de table, dite huile ''sans-goût'', très appréciée en cuisine, alors que l'arachide d'El-Tarf sert surtout pour l'instant, à la confection de gâteaux ainsi qu'à la consommation locale, notamment en hiver, période durant laquelle ces petits délices savoureux sont croqués à volonté en soirée, généralement autour d'une bonne tasse de thé à la menthe.
Les cacahuètes d'El-Tarf gagneraient à être valorisées par un développement des moyens d'irrigation qui permettraient "d'industrialiser" cette culture, selon les producteurs locaux.