Algérie

Procès du séisme de Boumerdès : Le cas des «210 logements» de Tidjelabine



Le procès du séisme de Boumerdès s'est poursuivi jeudi avec l'examen du cas des 210 logements de la commune de Tidjelabine qui, rappelle-t-on, se sont effondrés totalement lors du séisme du 21 mai 2003, ce qui avait causé la mort de 22 personnes.

Pour le maître d'ouvrage, l'OPGI d'Alger, dont le directeur n'était pas présent à l'audience, l'ancien responsable de l'OPGI de Boumerdès a répondu devant les magistrats qu'à cette période, c'est-à-dire 1980-1987, il n'assurait pas la fonction de directeur de l'OPGI d'Alger.

S'agissant d'un membre de la commission ministérielle en charge de l'enquête sur le séisme de Boumerdès, celui-ci a déclaré pour sa part qu'en plus de la puissance de la magnitude du tremblement de terre, quelques anomalies avaient été relevées au niveau des piliers et du ferraillage, et aussi des erreurs dans la note de calcul de la partie génie civil et notamment les fondations. Pour M. Zmit, chargé du suivi technique du bureau d'étude, il a répondu aux juges que cette affaire des 210 logements de Tidjelabine ne le concerne ni de près ni de loin, sachant qu'il n'était pas présent lors de la réalisation de ce projet.




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