Une foule nombreuse, composée de membres de sa famille et de collègues journalistes et professeurs à l?institut des sciences politiques, a suivi la procession funèbre. Agé de 50 ans, Sekia, apprécié de tous, résidait à la cité El Merdja, à Baraki, et travaillait à plein temps à l?institut des sciences politiques, tout en collaborant dans la presse nationale. Après avoir obtenu un magistère à l?université d?Alger, Sekia a bénéficié d?une bourse qui le mènera en Grande-Bretagne, où il décrochera un magister à l?université de Bristol. A son retour, il travaillera à l?institut de Ben Aknoun et sera l?un des membres fondateurs du journal arabophone El Khabar où il exercera aux côtés du défunt Omar Ourtilène. Il participera, par la suite, à la création d?autres titres comme El Youm et Echibek, tout récemment. L?ayant côtoyé, M. Belhimer, journaliste au quotidien El Khabar, fera remarquer que l?homme était « l?intelligence même et avait le contact facile ».
Posté Le : 01/07/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : I. N.
Source : www.elwatan.com