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Prés de 10.780 cas nrecensés



La fièvre maltaise a enregistré près de 10.780 cas au niveau national. L'épidémies'est répandue rapidement dans les steppeset a gagné même certaines villes.La fièvre maltaise a enregistré près de 10.780 cas au niveau national. L'épidémies'est répandue rapidement dans les steppeset a gagné même certaines villes.
Les spécialistesen santé publique ont appelé les autoritésà prendre les mesures indispensables pourenrayer la pandémie et de procéder à la vaccinationurgente pour toutes les personnescontaminées.C'est la cote d'alerte cet été et à l'approche del'Aïd, les foyers de contamination de cette fièvreréputée dangereuse ont déjà fait leurs lotsde victimes.
Des praticiens en santé publiqueont considéré que "cette bactérie responsable de la fièvre maltaise se déploie surtout dans lecheptel ovin, dans sa laine ou dans les détritus des abattages non conformes lorsque ce dernier est touché par certaines maladies". Etd'ajouter que"la bactérie peut survivre dans une période d'incubation entre 75 jours et 110jours"laissant donc un risque réel sur les foyers de contagion à travers la consommation de viande inappropriée. Les experts en médecine,préventive ont d'ailleurs profité d'un séminaire à
Djelfa pour mettre en garde sur "l'absence ou négligence de la prise en charge des malades qui peut induire des conséquenceslourdesà l'instar de la paralysie desmembres, la stérilité et d'autres maladies pouvantcauser de graves conséquences". Il est crucial que les autorités sanitaires mettentd'abord la disponibilité des vaccins au niveau de tous les centres de soins et les établissements spécialisés en consacrant à cet effet les budgets nécessaires à cette vaccination avant que les foyers endémiques ne se répandent. D'autre part, le ministère du Commerce etcelui de l'Agriculture sont appelés à plus de igilance en matière de transactions sur un cheptel ovin contaminé.
Il s'est avéré, selon des sources, que certains éleveurs se plaignent de l'absence de compensation financière, lorsque le cheptel est contaminé par des maladies les obligeant à les sacrifier et parfois en écoulant quelques centaines de têtes dans des marchés clandestins. Il n'y a qu'à se rappeler l'année dernière à la même période de fêtes de l'Aïd, le terrible épisode de la - viande bleue -
constatée lors de l'abattage de moutons. Même si les citoyens ont été vigilants, rien n'empêchecertains éleveurs avides d'argent faciled'écoulersur un marché mal contrôlé une viande suspecte et impropre à la consommation. Notons que les services du ministère de l'Agriculture ont assuré dernièrement que "des dispositions ont été prises sur le contrôle desviandes rouges et des équipes de vétérinaires serontdisponibles pour les éventuels contrôles."
Les spécialistesen santé publique ont appelé les autoritésà prendre les mesures indispensables pourenrayer la pandémie et de procéder à la vaccinationurgente pour toutes les personnescontaminées.C'est la cote d'alerte cet été et à l'approche del'Aïd, les foyers de contamination de cette fièvreréputée dangereuse ont déjà fait leurs lotsde victimes.
Des praticiens en santé publiqueont considéré que "cette bactérie responsable de la fièvre maltaise se déploie surtout dans lecheptel ovin, dans sa laine ou dans les détritus des abattages non conformes lorsque ce dernier est touché par certaines maladies". Etd'ajouter que"la bactérie peut survivre dans une période d'incubation entre 75 jours et 110jours"laissant donc un risque réel sur les foyers de contagion à travers la consommation de viande inappropriée. Les experts en médecine,préventive ont d'ailleurs profité d'un séminaire à
Djelfa pour mettre en garde sur "l'absence ou négligence de la prise en charge des malades qui peut induire des conséquenceslourdesà l'instar de la paralysie desmembres, la stérilité et d'autres maladies pouvantcauser de graves conséquences". Il est crucial que les autorités sanitaires mettentd'abord la disponibilité des vaccins au niveau de tous les centres de soins et les établissements spécialisés en consacrant à cet effet les budgets nécessaires à cette vaccination avant que les foyers endémiques ne se répandent. D'autre part, le ministère du Commerce etcelui de l'Agriculture sont appelés à plus de igilance en matière de transactions sur un cheptel ovin contaminé.
Il s'est avéré, selon des sources, que certains éleveurs se plaignent de l'absence de compensation financière, lorsque le cheptel est contaminé par des maladies les obligeant à les sacrifier et parfois en écoulant quelques centaines de têtes dans des marchés clandestins. Il n'y a qu'à se rappeler l'année dernière à la même période de fêtes de l'Aïd, le terrible épisode de la - viande bleue -
constatée lors de l'abattage de moutons. Même si les citoyens ont été vigilants, rien n'empêchecertains éleveurs avides d'argent faciled'écoulersur un marché mal contrôlé une viande suspecte et impropre à la consommation. Notons que les services du ministère de l'Agriculture ont assuré dernièrement que "des dispositions ont été prises sur le contrôle desviandes rouges et des équipes de vétérinaires serontdisponibles pour les éventuels contrôles."


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