L'ouverture de nouvelles spécialités a été rendue possible grâce aux capacités de formation offertes par le secteur, qui oscillent autour de 5 500 places pédagogiques tous modes de formation confondus.
La recherche de l'adéquation de l'offre de formation aux nouvelles conditions du marché de l'emploi a requis l'introduction de nouvelles spécialités diplômantes ou qualifiantes dont l'enseignement va être lancé à partir de la rentrée du mois de février. La mise en place de ces nouvelles spécialités va répondre aux besoins exprimés par les secteurs utilisateurs dans les différents secteurs de l'économie locale afin de donner l'opportunité aux sortants du système de la formation professionnelle de s'insérer rapidement dans le monde du travail.
Dans cette perspective, des cursus de formation préparent aux diplômes de technicien supérieur, de technicien, et des niveaux de qualification inférieure sont prévus pour répondre aux métiers professionnels du bâtiment, de la mécanique, etc. Parmi les nouveautés, des établissements de la formation sont désignés pour dispenser, à partir de la prochaine rentrée de février, des enseignements spécialisés en gestion et économie de l'eau qui seront sanctionnés par le diplôme de technicien supérieur. Electronique automobile, mécanique, maintenance des véhicules légers sont les autres formations qui seront assurées dans les instituts de la formation professionnelle correspondant au profil de technicien.
À cela s'ajoutent d'autres formations qui devront répondre aux besoins des secteurs financier, bancaire et commercial, préparant à certains profils intermédiaires. Pour ce faire, le secteur a programmé la création de diplômes de maîtrise professionnelle de banque (CMPB) et d'agents commerciaux. L'élargissement de l'éventail des nouvelles spécialités concerne aussi les modes de formation en apprentissage par l'introduction des cursus préparant aux métiers de la boucherie et des produits carnés.
L'ouverture de nouvelles spécialités a été rendu possible grâce aux capacités de formation offertes par le secteur, qui oscillent autour de 5 500 places pédagogiques tous modes de formation confondus. On fait remarquer que la formation professionnelle en milieu carcéral a enregistré une nette progression, ayant touché quelque 1400 détenus, lors de la rentrée d'octobre, du centre pénitenciaire de Berrouaghia et 100 détenus des établissements de Ksar El- Boukhari et Tablat pour la rentrée de février prochain.
Outre les métiers préparant à l'insertion dans la vie professionnelle des pensionnaires dans les domaines du BTP, la menuiserie, les installations sanitaires et du gaz, le gros de la demande va aux métiers de l'arboriculture, des petits élevages et du maraîchage.
M E B
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Posté Le : 03/01/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M EL BEY
Source : www.liberte-algerie.com