Trois quotidiens nationaux ont inséré dans leurs livraisons du 26 novembre 2019, des contenus calomnieux, prétendant que les services de police ont interdit à des journalistes de couvrir un meeting animé par un candidat à la présidentielle du 12 décembre 2019.La Direction générale de la Sûreté nationale, tout en assurant que ces propos diffamatoires sont dénués de tout fondement, dénonce le recours de certains malintentionnés, qui usent de subterfuges incohérents et contraires à toute éthique, pour tenter de troubler l'ordre et perturber le déroulement de réunions publiques autorisées, en se dissimulant derrière la notoriété que leur confère leur statut professionnel, ignorant le préjudice causé tout d'abord au noble métier qu'ils altèrent et, ensuite, à un droit du citoyen consacré par la Constitution.
Il importe de souligner que la sûreté nationale en tant qu'institution républicaine, agit conformément aux dispositions légales en vigueur, en particulier celles régissant les dispositifs de protection des personnes et des biens, à l'occasion de rassemblements et réunions publics, en veillant à la sécurité des périmètres immédiats des infrastructures et salles dédiées, ainsi qu'à celle des animateurs et publics concernés. Toutefois, le service d'ordre à l'intérieur de ces lieux demeure de la compétence des organisateurs desdites activités.
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Posté Le : 27/11/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Liberté
Source : www.liberte-algerie.com