Pourquoi s'en prendre à Mme Taous Ameyar' FEDERATION ALGERIENNE DES ECHECS

Deux poids, deux mesures pour les candidatures au poste de président de Fédération en Algérie. Pour certains candidats ne remplissant aucune des conditions exigées, à savoir universitaires, nombre d'années de pratique sportive et/ou d'années de gestion et avec une exclusion de son club de toute compétition (copie du document en notre possession), le ministère a fait fi de toute cette réglementation et de ces textes de loi régissant l'activité sportive nationale pour l'équitation algérienne, mais pour la Fédération algérienne des jeux d'échecs, l'application des textes s'est faite à la lettre pour la présidente sortante candidate qui n'avait, certes, que quatre ans de gestion, mais plus de 20 ans au service de la jeunesse. Pourquoi cette injustice et qui est derrière ce sabotage de la démocratie' Mme Taous Ameyar, épouse du défunt Kheireddine Ameyar, dont le prix national porte le nom, reste quand même une grande dame très estimée du monde des jeux d'échecs. Encore une fois, les instances internationales sont de la partie et le prestige du pays est de nouveau éclaboussé par cette affaire qui, espérons-le, trouvera son dénouement grâce à la perspicacité de M.Mohamed Tahmi, ministre de la Jeunesse et des Sports.