Algérie

Pour qui sonne le glas '



Comme un tube de l'été, Pour qui sonne le glas, ce titre d'un roman d'Ernest Hemingway, tourne en boucle dans mon esprit.L'histoire, dans le roman Samarcande d'Amin Maalouf, s'achève par le naufrage du Titanic dont l'épave garde toujours le manuscrit des Roubaïyate de Omar Khayyam, caché dans un coffre fort. Depuis le début du voyage, Chirine, l'épouse iranienne de l'Américain Benjamin Omar Lesage était triste car elle avait un mauvais pressentiment.
Un peu pour la taquiner, son mari lui dit de ne pas avoir peur d'un éventuel naufrage car le capitaine avait dit que même Dieu ne pourra pas faire couler le Titanic. Cette scène a d'ailleurs été montrée dans le film Titanic de James Cameron. Amin Maalouf a écrit que l'Iranienne n'avait pas apprécié et avait répondu à son mari que même un athée n'oserait pas dire ça dans son pays.
Nous assistons actuellement au titanesque naufrage d'un vieux parti ,«alibi du pouvoir», dont, récemment, le dinosaurien chef disait qu'il allait encore régner un siècle sur l'Algérie. Pour qui sonne le glas '
K. B.
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