Ce travail a pour objectif de problématiser la politique de la
formation à l’étranger de l’Algérie indépendante, notamment dés les
années 1970 à nos jours. Une problématique restée pour longtemps
impensée dans le champ de la connaissance migratoire des compétences
professionnelles et des intelligentsias en Algérie.
De ce point de vue il s’agit de comprendre quelles sont les limites
de cette politique publique de formation des cadres et des universitaires
algériens à l’étranger dans une ambiance développementiste
qui se veut un «rattrapage» de retard causé par le colonialisme
Français ? Et quelles sont les conséquences de cette politique de
formation à l’étranger en termes de dépendance épistémique et de
crise des professions intellectuelles en Algérie d’aujourd’hui ?
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Posté Le : 20/05/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Khaled Karim
Source : Les cahiers du CREAD Volume 30, Numéro 109, Pages 121-151