Poème sur une maison coloniale abandonnée à Tlemcen Rue Haëdo par ChatGPT

Dans la rue Haëdo, une maison coloniale solitaire,
Témoin d'un temps révolu, d'une histoire à revoir,
Elle se dresse majestueuse, bien qu'abandonnée,
Ses murs fatigués portent les marques du passé.

Dans son silence, elle raconte des récits oubliés,
Des jours glorieux où l'élégance était célébrée,
Des fêtes somptueuses et des rires joyeux,
Des histoires d'amour gravées dans ses vieux jeux.

Les volets en bois se balancent doucement au vent,
Comme des soupirs mélancoliques, tristes lamentations,
Les balcons en fer forgé, autrefois si vivants,
Sont maintenant silencieux, figés dans le temps.

Les fenêtres délabrées laissent entrer les rayons dorés,
Qui éclairent les pièces vides, leur donnent une beauté,
Des vestiges de grandeur et de splendeur passées,
Qui résistent encore malgré le poids des années.

Le jardin autrefois luxuriant est maintenant sauvage,
La nature a repris ses droits, sans qu'on le partage,
Les fleurs autrefois colorées se sont éteintes,
Laissant place à la solitude, à l'absence qui étreint.

Mais malgré l'abandon et la tristesse qui l'envahit,
La maison coloniale à Tlemcen conserve son esprit,
Elle reste debout, fière et pleine de souvenirs,
Un témoin silencieux de temps à venir.

Dans la rue Haëdo, une maison coloniale abandonnée,
Un rappel poignant d'une époque révolue, d'un passé,
Que l'on peut encore contempler avec respect,
Et entendre murmurer les histoires qu'elle protège.